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4ro

SE P

gnc eíl: rormeux. D'amfcs

le

fontvenir de

Cippus,

&écrivenc

Ctp.

On appellc

Sep de

chArru~

,

La partic de

la

c~1ar­

ruc oU ucnt le foc,

&

on da en termes de Manne,

!~a~~:r~;; t::r~~cedc~o

0

u~f~~l~:~~fi~~~; ~·~~

clic s'élcve Íur le pone. áu bour d'en haut de

ccr~e

piece de bois fom rrois ou quarre

rouecs

de pouhe

fur un mCmc eílicu , Cur quoi paífcnc les grandes

driflCs. U

y

a dcuxSeps de driílC , l'un appcllé ,

Sep

de dr1ffedu grand mJt,

qui fert

:l.

la grande vergue,

l'aurrc ,

s

tp

dt driffe de mifame)

qui fc:n

a

la ver–

guc de mifaine. Chacun eft élcvé au pié de fon

mir.

SEPEAU. f. m. Souche de bois fur loquelle ceux c¡ui

fabriqucnc les monnoyes pofcnc lcur ras ou lcur

pile

pour les frapper

&

marquer.

.

SEPE'E.

(.f.

Touffc de p'ufieurs arbrcs qui

o.nt

pouf–

d\m mCme rronc ou d'unc mémc r

acine

. Les

Aulnes viennent en Sepées ,

&

li

on ne les arra.che

~~~J>ré,

en

fon

peu de cems elles en occupcm

la

SE P S.

f.

m. Le lezlC'd ou ferpenc appellé

Stps,

que quelques·uns nommenc

L ez..ttrd de Chttlcide,

bU en vin (ere de comrepoiCon

3.

(es piquU.res.

~:.:~ªn~c reu:~~u:~ep~:;~~r~~~·r!:t~e~i:i~~~~~~~e~

halic, mais qu'on tiene qu'il

r

en

a

quamité dans

l'Hlc de Chypre

&

dans laLyb1e, oU ils fe nourrif-

~:n~:ta&sri!~snl~:ric~tc~i:~~r(~11~~!ci~rÍ~:·u~sell~ fla~~

fant femblablcs

a

nos lezards ,

&

les aucrcs une cf.

pee~

de fcrpcnt. Le fcrpent appellé

Srps

,

die

ACnns, cílquelqucfois long de dcux coudées,

&

va

roU,oues en

amorndriíl3.nc

contre la qucue.

11

mar–

chedroic fa

ns fe cordrc le

corps,

&

fqre lemement.

Il

a le muíeau pointu, la tCte large,

&

le corps

tout marqucté de pctiecs caches blanchcs. Ccuxqui

fom

piqués de ccr animal ne vivent que trois ou

quatre jours tout au plus. Paufanias parlant d'Egip-

~saíl~0: ~:~c~c~t~ :u~::1~fu~~¡f~rc~er~%b~:~1! I~

unebien perite viperc ,

&

de couleur ccndrée. Elle

clt marquctéc par inrervalles, ayant la cece place,

le chignon du col écroit. le venere gros

&

la qucue

perite. Elle marche en fe pli:mt prefque comme le

cancrc , ce qui

cíl:

auffi le propre du ferpent Ce-–

raíl:c:.

SE PTA IN E. f. f. Termc de quclques

CoU.ru~

es,

qui fe die non feulcmenc des cnclos d·unc V1\le ,

mais

~mlli

de fes cnvirons, de

fa

bJnlieue,

&

de

fa

Juriídié\'ion. Ce moe viene du Latin

SeptHm.

En–

ccincc.

S

l:.

P T A N TE. adj. numeral. Nombre compoíé

des fepr dixaim:s. O!!oiquc ce nombre ne fa(fe que

foiX'lnce

&

dix . on ne laiCfc pas d'appeller la tra–

dull: on qne les foixante

&

douze lnterpretcsqu·em..

ploya1>coloméc Phtladc:lphe,Fils de Lagus Roi d'E–

gypcc, lircnt enCree de l'ancien Tcft:amem Hcbreu,

nois ccns ans avanr la nailfance de }Esus-CHR.IST •

LA 1.urfion dt1 SepsAntt.

Ce fue Elc:izar fouvcraín

Poncife, qui lui envoya ces foixante

&

douze Tra–

duél:curs,

&

il choilit pour cela dans chaque tribu

du Peuplc1uif, fix des plus íc;avansen Hcbrcu

&

en Grcc. SaintJuílin Manyr, faim Clemcm& faint

Jrenée aílürent qu'ils fureÓt enfcrmés ch3cun dans

une chambrc paniculicre, par ordrc de Ptolomée ,

pour voir qucl rapport il

y

:rnroit entre un

li

grand

nombre de Traclué.bons faite<; (éparémcnt,

&

qu'cl–

le~

íe rrouverent toutcs conformes. mais quoi1ue

fiun.t Jufiin ajoUtc qu'il avoie vl1

a

Alex:mdrie l'cn–

dro1r

&

les ruines de l'édilicc oU écoient coutes cc9

SEQ SER:

chambrcs, faim Augunin dome qnc cela foit vrai.

Saine JcrOme croic que les Sept..nte n'om uadWc

que les cin.q Livresde Moli"c,

&

la pliip_an des

aa~

c1cns Peres om crUqu'1ls avoienc cradun anffi toue

les Livres du vieux Teílameot.

11

cft: cenainque

cene craduél::ion

di:

trCi-ancienne ,

&

que les

Jmfs

n'en om poinc cu d'aucres avam }Esus-C liR..lST.

auíli a-t'ellc cu tol'tjours beaucoup d'autori

1

é

dan;

l'Eglife.

On

appellc

1:t1ftpt11nt~fem4int1

de DAnitl ,

Un

nombre de

fo1xanc~

&

d1~

fots

~cpt

ans )

qui

font

quarre cemquatre-vrnge-d1x annees. C'eft: un nom–

bre myft:crieux que l'Ange Gabriel revela au

Pro–

phcte Daniel , pour marquer le tcrns de

la

naif–

Lnce de } Esus-CHR..IST

&

defamorc. Lestet–

mes

de

la rcvdacion qui

fonc ,

Et in mUio hrbdo.

mad11

dtfiG1~t

hufli".

&

facr.'Jcium ,

marquem que le

Meffic devou mouru au m1heu de: l:t foixamc

&

di.

xiéme Cemaine, auqud tems ceílCroiem l'hofüe

&

le facrifice, c'eft:-:i-d1re,que les viébmes ne feroiem

plus immolées Cuivant la Loi ,

&

que

les

anciens

facrifices finiroient rar l'ob!ation de ccfui dom

ils

écoienclesfigures.

SE PTER E' E. f. f. Morce>u de tcrre de la confi(.

canee d'un :trpenrou enviren.

U

ne fe

die

que dans

ccnaines Provinces,

&

lignifie auffi un fepcier

de

femence.

s

E

p

u

L

e

R

AL )

AL E.

adj. O!!i apparcicnt au1

(epulcres. On appelloit ancicnnement

Colormuft.

p11lcr•le ,

Une colomne élevéc íur un tombcau

~:e;r~~~e~P~ªS:;~~:;sé~[~1~~~s~:~r~~r:;u~;:

~:~~~~~nnes

difünguécs,& les autres pour ccu1 du

On

appcl~c

StpulcrAHX,

Ccrcains hereciquesqui

di(enc que }'Esus-C1-1R1

ST

n'efi dc:

ícendu:i.ut

~~~~r~~~~o~~~~0~~J:fu~ ~::q:~~ ~~~~;r:~:ª:Cf;

motd.Enfer par Sepulcre.

S EQ

SEQ.Ul

'.NCE. f. f. Terme de Jeu du Hoc, de l'lm•

peria

le,

&

de quclques

autre~

Jeux de caree.

C:dl

d:f

v~~~'~c~eeJ~"!~~~ss~:;-~~~~~;t~ct~~~~e~~ ~~!

viem du Luin

S

u¡111)

Suivre.

S t9HtnCt

,

fe Jir aulli en- termes de vieux

Brevi1i·

res • d 'une cenaine Profe

rimé~

qui fe die ap1Cs

J'f...

pitre dans les teces folcmndles. Selon Durandus,

Nmkerus , Abbé de

faint

Gal , acompoíé la pre·

miere Scquence,

&

ce fot le P2pe Nicolas qu1 or–

donna qu'on

la

chandt

:i

la MellC:. Il

y

a euune

Sequencc faire par Je Roi Roben pour la PenrecO.

te, :ice qu'affirmc du Cange.

SEREQYE. f. m. Sonc de planee done les. f, uillcs

fom vertes)

&

qu'on faic venir de Provencc pour

les Teinmriers. On l':ippelle aulli

Htrbe ltjdunir,

ou

Pttit Gtntfl.

Les habitans des Canaries d'oUla

prcmiere eft: vcnue

la

nommem

Orift/.

On dé1ive

Strrte¡Ht,

de

Sertth

mot Arabe.

S E

Q

U I N.

{.

m. Sone de monnoie qui a couu

parmi les Tures. Abfoncounveutquece mot vien·

ne de

Ci:r..ifHe

ou

CiLicenie¡Ht,

parce que c'étoic

une piece d'or de la Ville de Cizique. M. Ména-i

ge Je dérive de l'halien

Ztcchino,

qui ell un du ..

car d'or de Venife qu'on a appellé :iinli de

Zocr11,

qui veut dire en cctte langue le lieu oU l'on bac

la

monnoie.

SER

SERAN.

f.,;,.

Inflrumenc de Filaflier

&

de Cordicr,