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O R E

corps érrangcrs qui

fonc_enrrés ,&-de

13.

vien.r auffi

que la force des

colpS

rclonn.mtScíl .:iugmcmcc par

mulupliciré des anglcs

qu~

1::ur

.c~l

conmnnc de

l:t

rcncomre de ces inegalues. Une mcm–

brane

tr~s

force

tranfpareme

cermme.

Lcuc

membrane, que l'on .appdlc

T1u11b0Nr.

dl :uuchée

daos une fcu1llúrc qm efl

la parnc inccncurc du

ccrclc ofICux , lcqm:I cctclc oílCux cíl échancré

~~:c1~ºf

~:~~:e~~~~cc~~ü~

.r~~i1ªte~"u!:~~f~;~i:

impulfions de l'air

au101enc

pü l'cnfonccr, m:us ce

~!~~e~~ {G~l~é{~;~;}¡~i

:.n~~ur~;~~

1;!'

::r~~e

~~~~

membr.mc,

a une cavité

confidcr:i.b

lc que l'on

nommck4i.Jí'

(.Elleapparuc:nd l'os pecrcux

plu–

euts pames

font

conrcnucs,

fsavotr

qu:mc

o(fc.

lers , trois mtJfcles , deux

con4tuirs~

dcux fcnhres,&

une branche de nerfs. Les )i.natom1fies nommenr

;::~;~~:e,!~O;~~~e~~~1~b~!~c~~ c~1

n~b':;r~

Í~~

cond oflC:ler fe nomme

Enc/Hnu.

trois parries

fon corps qui eíl: Cicué au haur de la

qu:'lilfc ,

fes

deux branches qui

fonc

inégalcs. La plus confidc–

rable

tombe perpendiculairc:mem en fe recour–

banc un peu endcdans

Con excremité. Le troilié–

meofli:lct qui a

figure d'une lenulle , cíl: coocave

du cOcé qu'1l couch_e l'enclume,

convexedecelui

qui couche lequamémcoífelecqu'on

nommeEflricr.

Ses

dcux br:111ches onr

leur parcic: imerieU[e une

feuillure oll s'enchaílC une membr:me uCs-délic:ue

trCs-fine. Sa bafc:

ovale pofée Cur la fenCtrc

ovalain:. Des croismufdes il y en a cleux qui appar–

riennem au marceau ,

dom le premier

fes ana-

f.~l~:r~l~u,~ep~~~!~;~~l~~-lf~j~:re~ :s~

i':f

:ceo~~;l~

liennes, l'une daos une cavité qui eft

l'os pier–

reux,

l'autre au manche

miincau. Le crodié ...

me mufcle appartient

l'eíl:ner ,

i l'une de fes

an;ichcs daos le fond de la quaiílC

l'auue a

l:i

tCte de cet os.

y a deux conduics

da.ns

la quaiífe,

l'un appellé

Átpuduc,

en pa.rtie oílC:ux

en parrie

~~l~i~al~

;

~~~; reo'~~~~~ 1~;e

:d~~

1~~~e,'fi;l~~i1;;

~ b:'~cJ,J~~~·~~~~~er ;~r'!i"~~nm:~

:~;.~en~º(.:'~~~

!~~~~~a.c~aÍcv~~·

·~~~~rf~~~it~~ ~a~~~cÍ~c~~sª~;

telle force¡ qu'il ne laiílC: quelque

pace vuide pour

l'incroduétion de l'air daos le labyruuhe. La perite

branchc de nerf .9ui craverfe la qua1ífe

eíl: un ra–

mcau de

croiliemc branche , de

cinquiémc

parrie, qui fe décachc de cclui qui va

la languc,

~~~cn!~~~~~~

sql1:~Í~~:su~bre~a~~e~~';fcf;s ~~

~a~~

ccau, puis rc:ílOn

hor'i

de la caiífe avc:c

parcio

dure du nerf audirif.

encare le labyrinche.

C'efl: une

viré

qui

a quatre

cinq lignes de dia–

mcue , creuféedaos la moyenne p.urie de l'apo–

phyfe pierrcufe cmre les trois canaux

coquille

~!~~~fn°Íe~:~~~~;~!~~~i~~r~

/cct~a~~:i~i~;~ie~~

rcufe,

fair plulieurs cours, qui om aefés

de rap.

pon

une volme. Les rrois canaux qui fonc apr.cl–

lés l'un fuperieur , l'aurre moycn ,

rro1fié–

me infericur , ne fonnc:nr que cinq ouvermrcs

dans le labyrinthe ,

caufe que le canal mferieur

confond

lienne avcccclle du fuperieur, ce qui eíl:

caufc: que de deux ils n'cn fonc c¡u'une. C'cíl: ainft

qu'cn a pa1lé le mCme

f\1.

Dromn en trairnm

fl:ruélure de l'orcillc. La figure anfraélucufe de

l'orctlle cxtcrne •

fur

tour

vome de l'orcille

incerne , rend bien plus cxaél"e Ja pcrcepuondu fon

O R E

ou du mouvcmenr de l'air, parce que les fons s'en..

tendcnt b1c:n m1c:ux dans

le~

lleux voucés. L 'amficc

peuc ta1re mCmc conftrutre des chambres, oU lorf–

qu'on

c!I:

en un coin , on pcuc enrcodre couc ce

qu'on

du ,

mCm~

i J'orc:ille

tout bas,

fons

que

ceux qui fonr au nulieu de

mCme chambrc emc:n–

dem nen. La membranc du tambour (ere c:n parcie

pour moderer ce que le mouvcmenr de l'a.1r a de

rrop impemcux ,

pour en unprimcr un femblable

l'.iir Interne de la qua.tífe, afio

le porterpar

Jabyrinche 1ufqu'au lunason

l'cxp::mlion du

;~;r~~~~;~~~;:n~Í~~ec;~f::

1?a~~i::rri.;,~

C.lllrcnr aux efprics qui y fonc prefcnsunc telle émo-

;~c0~u~~~~;sr;i~~~.~~t:~~ill~:1:n~~t~~~~:~)~cq~1~~

méme au rro1fiéme , il fe faic un fon

h~m'lomeux

m:s-a.greable ,

ce íon rcfulte ele la propomon

q11e les mouvemensde l'air om entre eux.

cerce

proporci_on

ccc accord

manqu~

}le fon fer-a fans

harmome

deíagrcable ,

incommodera

mé–

me la langue

lesdents,

caufe de

c~mmuni

...

carion des nerfs.

appelle

Ort1lte d11

ctzflr,

deux pcticcs ouvcr–

turcs

cccur fuiccs en forme d'oreillcs, qui fervenr

rccevoir le fang ,

faire la circularion de ce

mCme fang.

La.

drone aboucic

la vcine cave ,

gauchc 9ui fe dilate quand le ca:ur fe relÍcrrc

pour en fairc forrirlc fang, fe terminci l'entréedc

J':i.nere veincufc:.

Onappelleen termes de

lrine

Orctlle dcf"n–

cre,

la.

largeur des panes de l'ancre ,

qu:md on

die

Ore1/le de bb.Jre ,

on emend une voile

1.pa~

eilléc

enoreille de lievrc:, c'eíl:-L d1re , en voile latmeou

:r~t~r~:,~~~~:

ce qui la rcnd d1ffc::reme des voiles

Ore1/le de hl'vrt,

eílaufli une perice plantequ'on

appdlée ainfi

ca.ufe qu'elle

di:

faue enucre–

m:tm comme l'oreille d'un liévre.

Oredle á'oHrs,

Fleur odonfc:renre qui Aeurit en

vril,

qui etl: rouge • blanche ou gris de

1111.

Ore1/le de rAr.

Herbc prodmfant plulieurs cigesqui

;~:11n:r"~~º~:s.d~na:~:c~~~c~lcle:r~~'(~~nEfl~u:ofe:

fcuifies écroites. longueues , ay.uu le dos aigu

élevé,

tirant fur le noir. Ces feuilles qui fonr

comparrics deux

dcux par inrervallcs, vonc

mU–

jours en aiguifant ,

fon

d'encre elles de pemes

tigcs qui porccnt une ffeur blcue comme cclle dlt

Mouron. Sa. racinc cílde 1:1. proílCur dudoigc,:1.yant

avec Coi plufieurs pctitcs racmes a.nachées. Diofco–

ridc dil que certe racinc cnduire gucrir les fiíl:ulcs

des yeux qui viennenr :1.uprCs du nez.

~elqucs·nns

nonunem

Alfinl ,

l'Oreillede rae. En Grec/"11..

,¡,,

comme

qui

diroir

f";,

;,. ,

caufeque les feuillcs

ccctehecbeonc du rapport :ivec l'oreillo d'un irat.

Ordlle d'Afoe.

Planre done les fcuilles fom aCfés

~;~nl~e1~ ~~rcg~1;~~.~~~~l·aéF-~~'!"f1~~ ~·~~sfe~;~:~~

cecee planee

le nom. Elle cíl: h:iure de deux cou–

dées. On l'.tppellc en

Lacin

SpnplúcHm

m,.JHJ .

Co,1folidama¡or.

Ore1/ü J'abricors.

Abricors confüsdonc les noyaux:

ont

été Otés

les dcux moitiés rc1omccs • en Cor–

te que l'excrCmicé de !'une n'all.int qn'au milieu de

l':.mrc ,ccl:i reprefence une maniere d'oreille.

On appc:lle

Ore1/les,

en termes ele Blafon, dcux

fe~ti,retseri:n~:set~~~~~~

:i:;

~:lf.,~~:sJ~;nu~~

coquil-

Lcs Organiíl:es appellcnr auffi

Oredle1

•deux pe-

~¿~¿~;}~~~ t~~~J,~~~1}=¡~~d)c:~'·~~~:~~lnª~1~~