(
44z
)
lons p-as
qrl
aucun de nous puisse ltre ministre,
p ar cela seul que si
le
gouvememmt cherchoit au
milim de nous .un grand ministre
,
so-n choix ne
pourroit tomher que
.sur
un homme .
...
MI
RABEA
u.
Cette faute n'a malheureusement pas éré la:
1
s-eule que l'assemblée ait commise , toujours
cfa11~
la vue de contrarier les succes de tels ou
tels de
ses
membres .
L'homme qui réfléchit ne
trmJver.oit-il pas , dans le décret qui
vient
d,.etre
rendu, et dans la proposition de M. Lan–
juinais, qui a
été
revl~e, CQTrig~e,
augmentée
.et
décrétée depuis) les véritables caúses. de la
'4()tz
confiance
du peuple dans le- pouvoir exé–
cutif,
des mauvais ch6ix du
p CHWO,Ír
exécutif
~
et
des inalversations des ministres, -qui écha–
pent.
souvent
a
la
responsabilité'
précisément
paree- que leurs yemc et ceux des législateurs
'
• .;i
_ne se
r~.ncontrent
presque
Jama.is...••
Dans
ce
lle
de
la veiile, M.
Tftourü,
au nom
du comité
de
c~nstitution
, avoit
.attaqué
le
plan
de
M:
Miraheau sur
1
la
division
du
royaumé..
M.
MIRABE:AV
avoit
dit :·
~<
te
travail
ele
M. -
Tlwure~
est
fait
avec