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( . 443]
trop
de'
soin et
de
méditation, pour
qti"i1
n.e
soít pas
téméraire
d'y
répondre
en imptovi–
san¿
L'
indulgen.ceque vous
m'avez
témoignee,
en ordonnant l'impression de mon plan, m'au-
-
t-o~ise ,
a
di.requ~
M. Thouret
s'
es1.t '·
fréqt~em
ment
trompé , .
soit '
sur
l'applicaüon
~e
mes
principes ., ' soit sur l'app1ication de ceux dtt
comité..,·
soit
en
répondant
a
mes obiections
~
s'oit
en m'en
suscitant.
J'ai deman-dé
la
parole
,pour déclarer
que
s'il vous r'este le
plus
lé.ger
doute, j'établirai demain,la questiol?-,
teU~ment
' circonsc'rite, que nous puissions nous
répondr~.
article/
par
'article '
d'un
e
maniere peut-
etrn
1
satisfaisante
~'·
,
.Et
la parole
avoit
été
accordée
a
M.
Mirabeau
pour
I-e lendemain ._,..,.
,
·
Aujourd'
!z ;-ti.
·
M:
M
I R
A.
B E A
u.
J
,H
Je n'ai pas besoin de vous faire
sentir
l'importance de !'examen qui vous occupe.:
si ·.
l~
-plan que vous aurez
aoopté
s'exécute dans–
~.es prov~nces
, la plus heureuse des révolutions
sera,_ consommée, le créclit rétabli., et la. force
publique
affermie. Tous nos succes tiennenrt
a
(
' '1
í!:
'
l r
e
.
>
~.e suc~es;
1
s remennent a- a-101s toutes nos ·es-
péranc-es et tout es
DOS_:
Ct?-~i!l~es,
et jamais
ph1s .