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l~
commerce,
se partagent tranquillement
des
profits.
»
" En effet, Messieurs,
.la
caisse
leur a
payé
rttcemrnent, sous les
y~u:x
de
ses
propres créan-.
ciers ,
rendus immobiles par l'arret de sur–
séance, trois
millions cinq
cents ,miHe livres.
Ce sont les gains des six premiers mois de
cette année ; ils proviennent de l'escompte,
de
l'émission
des billets.,
et
de l'intéret
de
soixante-dix millions
f}
·
prétés
au roí par la
caisse, s6us le
minist~re
de M. de Calonne.
Ces
trois millions,
foible
partie
de
lcHr
bé..
néfü:e considérable ,
auroient
suffi
ponr
pré-,
venir
tout
besoin de surséance. Telle a
été.
Jeur méthode pour soutenit le crédit de la
.
.
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'
.
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'" l
ca1sse
:
JHge:z
par-1a des
rcnse1gnem ens
qu LS
nous
donncrcnt pour le crédit
ri=1ÜonZI1.
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<(
Lorsque
l'archeveque de Sens rcndit son
famcux arrét du
i
6
aol!t,
la.
caisse
cl'escompte
-Ee
hata
de
se.
faire excmpter de tout e
su~pen
...
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L
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J
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Jtrnt un
aut.re/\
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11<irret , qm
a mspensQ1t
ae
payer
ses
b1i
et~
au porteur. Recevoir et ne pas payer; songer
au prófit de ses 3ctionnaires , et mép'riser ses
créanci~rs,
tell e cst la prati'quc
~ de
Ja ca isse ;,
telle cst sa doctrine en
fait
de
créc+Et. ·
Mai~
poursu1vons;
>~