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dwse
puMique .... de reconnoissance des soins
pa–
ternels de sa majesté pour le bonlieur de ses peu–
ples
!
.... (
1) ••••
>>.
'<
Messieurs, il ne fat!t pas
s'étonne~
qu'apres
de tels
coups d'ess-ai, on vous offte des
rertsei–
gnemens sur
le .
crédit ; il
n'y .
a
la
·qü'uné
im–
propriété d'expressi0n. C'est de l'art
de
rendre
fécond
le
discrédit
n;ieme ,
que ces
méssietirs
veulent nous
in~truire;
car le crédit n'
esr pas
une science, c'est le résultat
s~mple ~ de
la
'té..; .
gularité -et
de lá,· honne-fo'i.
H
: .;-
·
" Qu'ils nous ·les . donneat done
~
t.es' 4"en-sei
7
gnemens : -
les
détails secrets ne- -seront p,as
moins étonnans'
que
les
r fa~ts pti,PHcs~ -,~'c:>iis:
apprendrons' par
exemple'·(
car
céla~
tient
st=fns
doute
a"'
la
science·
du '
crédit ) ,-
·Cdmm
ent ,·
t-andis qu'e11 e
est
,depüis,
-·t1ri
a.In:·sari-s
payér
sés
billets,
la caisse d'escompte
acheté
riéanm:oí'n-s
des
tcrrains
spacieux,
met
~s
architectes a\!·
.
\d'
\ b" . d
l . '
concours, et se 1spose ·a .attf .
es
pctJ.a1s
t
H
<'
Mais e'est
asse~
vous
entretenir eles
·-ega:re ...
( 1)
Voyez
l'extrút des régistris
des déliberatiorts'
de.s,
-actionnaires de
la
cais1e
d'escompte, du 8
janvier
J:7
89,
publié
avec
l'arret
clu
17
janvier
PJ89,
qui
homologue
ces
delibérations.
'
o
3,