( i05
l
tlti
précédent ministere ,
intimidé les indi–
yidus' cherche aujourd'hui
a
éblouir l'assem..o
blé~
nationale.
»
(( Je ne dispute pas plus
a
une société de
commerce
qu'a
une société d'artisans , le droit
de
s'approcher de yous.
Cette
commandite,
formée
sou~
le nom du sieur
Besnard,
a pu
•
1
v ous députer quelques-uns de
ses
membres,
si
ell~
avoit des ch.oses graves' importantes
a
' vous exposer.
Eh
bien
!
que vous a-t-elle
<lit?.
pas un mot de ses engagemens , pas un mot de
l\1rret
de surséance
1
pas un mot de ses créan–
ciers ,
máis . les ·actionnaires esp'erent
qu~
tas•·
semblée nationale daignera prendre
en .
considera–
tion l'offre qu'ils fo nt de mf.ttre sous ses yeux,
Lous
Les rmseignemens
qu'e~le
po_urra desirer sur le·
co'!lmeree.
)1
>}
Quo i
!
une
~ommandite
a
qui il n'a
p'as–
tcn. u
d'exterminer le commerce,
~ous
donnera·
des
r.enseignerriens sur le commerce
!. ....
Elle
viendra done nous díre
~omment
, depuis:
~ou.zean.s
qu'elle existe , notre commerce ,
qu'elle
?'est
vantée de faire prospér er ,.
' r..'c(
point
re~tt
d'accroissement
!
>>
·
" Elle nous dira
comment
les
~manufactures,
qu'elle
pliomettoit de favoriset " s'éteignent
graduellem.ent, ou wnt
frappés
de .
langueur
!
,>--'