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Phyfiq1¡1e ,. qu.i, généralifées par le moy~n de l'Abíl:rafüot1
m,~taf?pyfiqµe ( I/ ~& 4i6), dot:nent prífe. ,ª~1x Prindpes g_éa.
1nemqu-es ; & q~ al~.rs la Phyfique peuf o.per:er for ces @bJet,
-ainíi .gén~ralif~s , co.inme. li Géométrie oper€ for des ohje~~
, pur~mé.m géo.mérrique~. C~ font les plus. brillantes parties
de le!. ~hytiqui, & ·cellas que · l°Qn nómm~ Scieñ~es phyfzco-.
pzathématig_ues .: telles que .font la Méchanique , l'Opti~ue , 1~
:Catoptrique, l'Aíl:ronomie; &, ~infi ch1 rdk · ·
IV.~>. Ileí¼ cert~in enfin que la Phyfique efl une Science ef.1
fl_míetlemen_t dépendante-_' & des -obfer:vations experimentales &
d,es fpéfu.lations métaphyjiques ~ puifctúe ce .n'eft que par· e(}
~onble moy~n, indiviíiblernent lié l'un al'áutre, ~u'elle peu.t;
é'.d~irn1: & intéreffe_r l'E/prit humaín; qµ'~H~ peut m_~rher
le vr-ai flom d~ Sé:ienc.~. · . ·· ,. · · ·
Otez. ~ l;¡ Phyfique 1 , les. Principes métapliyfique_s ~ géomé-.. ·
triques; & Ms-lors ~lle ne fera phls qu'une Science aveug_le.
_~ ~tnpyrique, telle qu'eíl: la Méde~ine chez les Charlatans•
. ·Déi.achei la Phyfique ~e l' E:fpérience & d~ l'Obferv4tion ;
-~ d~s-lQrs , livr~C;! ~rnx vagues &. .Irbitraires fpéculations ,
:.ibandonnéc a~r~ frivo!.es. &. difcor.clan!~s hypqthefes j _elle
~e fera pl1,.1s qu'une Science r9µ:1_élpefque, qu\1p m,alheureu)(
'échafa~1da.g,~ cl~ reve.s c.r~u.)t, jn,djgn~c&l~ l"art~ntion du Phi~
l?,fo,P~~ &. ·du ~~g:e~ _ .,_ · _ ·
·, :95$. CoNcivsiQN. De tout ce que nous 'venon·s . &'expo-.·
'f~'t &, d'ét~b1ir; d~n~ ces Elém~ns d~ M~taphyfique ~ facrée'
:'1x pr-c;,fañe; il r~fti-He ·viíiblement : . . ,
·~~\'Qué. la-M,étaphyjlqué efl la plus nécejfaiie & la plus ·inté-:
-,,..~/J4.n~e 4é_toutes -le~ ¿,:éiences : pui(q\1'elle a pour objet, tout
iee qu'il' importe) ·lé pl·qs ~ l'Efpdt hu1nain; de bien connoi–
tre; &_qu'~lle e,íl comme 1,ln rlainbeau univ~rfd.par 'ou doit
:péc~íf.air~rn~nt ~tr~éclairé & dirigé ce ineme Efprit humain ,
daQS· tó(lt(}~· l~s· Scic1tces qµi p~1,1V~Pt Q<:;.V~n~i; l'ohj~t de fes
€CH;noiífances : · · . ;w~.·Q_µe /4 Métaphyjlqz~e p,'t:ft pas. une Scienc-e aujfi difficile
~ au/Jz .foa c,cej/ible qu'on ,pourrozt fa l'ímagina: puifque d~n~
t9ut e~ s élé~ri~maire d~ 'Métaphyfiqu~ , il n'y a ríen
qui foit ele la poriée d~U.cun Efprit jufie ~ folide , qui
-~ur~ 5l~€lqn~ .pét~~fr<lt~o.n , 91,1e1que ét~ndMe ~ & qU:elque
füb·ih~ claftS f~s· rd~~s ! . ·
,,·· Ul<:>...Qii~ J'-Ón;ft foi~ ivUemmem de fau,ffes idee; d~ ./4 Mé~ '
{f!p1l~yftqil,e:, qw17!ii.'o.n fe ta reprifem~ · comm.e :u~ ·abime intermi:..
~4b,/e ~ o~ ·tiJUt ¡;ft fp,,ú fond ~ fan.s: c-(mfifl~ ; <u) t()Ut .(!fl ·r-~
t ibre1·'&,; icJ.e-lfi S::puifqu'~lhf ttefi telle-), .· dal')s l~s indi·.;.,
·,~ftes icléQs d~ qµelques ténébreux Métaphyflciens , qui m l
tiv{;_ftt' p-a§ la (aJfü ~ la ~1w_~1tr~r t~1lG qq'~lle'et\ en eU@-t'A~tn~i