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22

louch

'es

pnr

l'inlhu·nce

tk

la

musiqu<' espagnol<'

pt,"\rmi

les Incliens

actuel-; du Peron.

Lt'S

qm

lqu

s

mdodi

s y_ui nous

sonl

parvenues

n

sonl

qtw

d0s

'l'lrnntilluns

d\uw music¡w'

pluluL

européenne.

Peul-etre

sernil-11

pnssible

dP

LrouvC'r

de la musiquc

..

aulochlone

dau. les

montagnes

rrcult•es, chtz les ,

y1rn1rn, par

·empl

.

En ce

cas,

e

.

erait

saos

doute

un grnnd

rnérilP

tlc tL·er

e

s <locumenls avant qu 'il · ne disparaissent

('nlicr

rnenl. ))

La

letlrc>,

vou pouyc>z (

n

jug<>r,

n'étnit

pns cncouragrnnte ...

Pn>cé•lanl

tout

tcnlutiv

d'

notuli

ns

dirl·

·les, nnus avions voulu

nou. a, sur r

~\

Linrn que· personn

jusqu("'

la n'aynit

c>tudié l

suj

t

qui

nou

t

nait

a

Cl 'Ul'.

C'

st ainsi

que

nous

faisions hienl<)L la

connnissanc

du

seul

homm qui

eúl,

ñ

cr•tl

l~poque,

noLé dc>s

clrnnls

populai1·es

naim

nL

indi

IL

:

Alo111io

Bohlcs.

C't>sl un

sr1·rnno .

.J'c.~ 11tf>J1d ,

par

Ht

qu'il st bien d

. on

Pª.'

s

l

qu'il a ¡rns•:;c'

on

enfan

e dans

les

haut s

Yalll

1

e. nndine ,

nlre

lluanu ·o

pt

J:rn.1a. Tout

jeun ,

il

fai.

ail

partie

d\rnc nwilri

, rl un pn tr ,

m

ouv nil'. sont

cxact.

lui

apprit les

rudim(

n

1

<.l'harmoni <1u

'il

cormnil

aujourd'hui.

Hobl

s,

grace

a .

a

bonne

mémoire mu icnle,

nota de

ch<

nt~

incliens <:n

ha1·moni

a

quelque

-uns

t

en

incorpora

tl

nutres

plu .

e

u

mnins rr.

prctueu

ement,

tlan

<le

'Ompo.

ilion. p r. onnellcs d

valenr

relnliv .

11 voulul bi n nous foire

cnl

ndr

au 1 inno

([U

lques-un.

dr. air

qu'il

ª'

<

il lran.

crils ;

leur

r'

lle b auté

joinlt'

a

h'ttl'

C<.traclere

L1·'

spécial nou

attir'rent

viYe–

m nt.

~foj....,

<1uu1Hl

nous ch'mandames

a

Hobl

,

de lire et d' ·

tudil

r son

r

cucil

tl

hanl ,

il

nou

fut

oppo. ',

non

un

re

fu

-- on

n

snit pa ·

r fu

r au P

~rou

-

mai · de

rPp

n.

dilaloirt->

d s

mañrtnn

d s

pa. ado múza na,

qui a

bou lil'ent pratiqucm n

t

a

la

porte

f

erm ·e.

La

cou–

p raLion

<l

Hohl

s

'tail impossibl

1

oit ; nous nous

pas f'rion

de

lui,

nou

en

ª'

ions a. ez : la mu. ique incli nn

xi

lait,

elle

étnil bi"n

'ÍYanl ,, pleine

(rinl

'r<;L,

nou.

n'avion

qu'a

traYaillrr

par

non -mcrn

~-

La guerre

n m'app lanl

au

front, avnit interrompu no

re herch

11 s

f

urent repri

<>

l'an

<lernier

an cours d'un

noun",

u

'oyage

au P 'rou.

Lima avait

n apparence bien

'\'O lué. Il

n'éluit

p r. onn"

qui

n'ait

enlendu

parh•r

dP

1:

mu

iNl

/lílcirurnl.

Hoble '

parti

a

,uha,

¡mi

atL'

lhaLs-( ....ni

pour

fofrp

r<>p1·c:'·H·nler

une

:;ar:::,izelét

el

un opéra

<<

crenre

' ' agner

» (

!

1

1

PlaiL

sae1·é

grand

com¡wsiteur ;

en fin, mi:>

t1·oupe

de jcune

gens du Cuzco

élait

vrnue

rPpr;senl

r uvee

~ucce

<lans la en¡ itale un

dram

hi

Lorique

en

quechua, accompaO'né

ele

mu .

ique in<li nne

d

Sl'ene .

. viuns-1wus

un

peu

conl1·ibu

~

h

e

il

'?

l'eut- •

Lre.

Le.

Liménien

savent aujourcl'hui que

l'cu·t

indien existe, il. é

ri'

ent

fr

'quemment d

1. Voir

a

ce suj 'l, Leanclro i\lvii'la,

La llú ica incnfra,

C'lc. Cuzco, -1019,

p.

:1