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MOLLUSQUES
Enfin, le s steme ner eu des Janus ne differe aussi
en rien d'important de celui des Éolides (1).
Le genr que MM. Alder et Hancock ·ont propasé ,
en ngleterre, sous le nom de
Venilia
(2) , dénomina–
tiou qu'ils ont remplacée plu
tard par celle de
Proc–
tonotus
(3), nous parait de oir etre réuni
a
celui que
nous enons de décrire; en effet, les l\follusques sur
lesquels ces deux genres ont été établis, different éga–
lemen t des Éolides par la disposition des appendice
branchiaux, autom de la tete , et par la position pos–
térieure et médiane de l'anus. Quant au genre Zéph -
rine
(Zephy rina),
' tabli par M. de Quatrefages, et que
ce naturaliste a rapporté plus tard au genre
J7enilia
de
MM. Alder et Hanock
(L1) ,
il a été caract 'risé d'une
maniere trop incomplete par son auteur, pour qu'il
soit possible de dire ce que c'est; nous croyons ce–
pendant que ce n'est qu'une Éolide.
(1 ) Les détail s que nous donnon
ici sur le genre
Janus
ont
extraits du mémoire que nous avons présenté
a
l'Acad ' mie des
sciences, dans la séance du 13 janvie1· ·1845, et que nous avons cité
précédemment;
'l.
E. Blanchard a publié depuis, sur ce genre, un
mémoire trés-détaillé dans les
Annales des sciences naturelles,
tom. XI de la 3° série, 1849, pag. 76.
(2)
Tite Annals and magazine of natural !tistory_.
vol.
XIII ,
pag. 161 (1844).
(3)
Monograp!t of tlze nudibranchiate Mollusca,
pi. 42 (1845).
(4)
Ann.
des c.
nat.,
tom . I de la 3• s ' rie, pag. 130 et 191
~ 1844).