Table of Contents Table of Contents
Previous Page  443 / 594 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 443 / 594 Next Page
Page Background

DIBRANCHES.

433

po térieµre et externe , partent d 'autres nerfs qui se

rendent exclusivement aux visceres; nous croyons

done 'qu'il faut les considérer comme constituées par

lar' union

d~s

ganglions cérébraux et

~e

ceux qui sont

afTectés aux. organes de la vie végétative. Cette maniere

de oir se

trouv~

confirmée par ce qui

exist~

chez les

Tritonies, dont le systeme nerveux est tout

a

fait ana–

logue

a

e lui des Éolides; dans ces nudihranches' les

masses gaqglionnaires centrales sont divisées, par un

r ' trécissement bien marqué , en deux parties qu_i cor–

responden t évidemrnent aux ganglions cérébraux et

a

ceux don t les nerfs sont des6nés aux visceres.

Dans

l'Éolide

de Cw1ier ,

les yeux sont appliqués sur

les ganglions cér ' braux et forment seulement une pe-·

tite aillie a leur surfacc, comme nous l'a ons déja vu

chez les Pbylli roés; mais, dans d'autres especes , ces

organes a<lher nt a la peau el communiquent alors avec

e ganglions par des nerfi oplique bien distincts .

On oit également

a

la face supérieure des ganglions

cérébraux , en arriere des . eux , la petite capsule qui

r présente l' organe auditif dans ces Mollusques (pJ. 24

' fig . 15).

Les Éolides paraissent ' tre des Mollusque

a sez

commun

dans toutes les mers ; mais

lles ne se

montrent ordinairement sur les ri ages qu 'a cer taines

époque de

l'

ann ' e , du moins daos nos

limats ; on

rencontre au si qu lquefoi

n plein mer, sur les

plant marines errantes .

Donilo. -

Zoo!. Tome

JI.

Partie 11 .