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DE LA BONlTE .
no tre industrie , mais n 'a plus ríen de pittoresque m
d' original . ·
Le Panthéou.
e<
La direction que i1ous avions
a
suivre devait nous
fa ire passer aevant le couvent de Santa Clara
1
,
un des
p lus remarquables de Lima . Nous lui donnames un coup
d'reil en passant; et, tournant
a
gauche , nous primes
une rue qui nous conduisit hors la ville,
a
l'entrée du
chemin sablonneux qui abo utit au Panthéon.
«
Je cherchais un imposant édifice , surmonté d'nne
belle coupole, tel qu 'on voil encore le f>anth éon de
Rome ou le Panthéon de Parí s. .Je Lrouv3;Í un enclos,
dont l'enceinte réunit un cer tain nombre de cases, pla–
cées sur plusieurs rangs, les unes .au-dessi:.s des autres :
simple ossuaire, oú chacun peut marquer sa place et
acheter le droit de reposer apres sa mort, s'il a de
quoi payer la rétribution exigée. Une de ces cases,
achetée par les négociants frarn;ais, au prix de deux
mille piastres, contebait la dépouille de M. Moulac; elle
attendait encore la plaque ele cuivre qui devait en fermer
l'entrée . Elle n'avait d'ailleurs rien de remarquahle, ni
par sa position, ni par sa forme. Cette vue m'attrista, et
je me hatai de sortir, toujours suivi de mon fidele com-
1
La vue extérieure de ce couvent est reproduite dans
l'Album his–
torique,
planchenº 30 .
Bouite. -
Relcition du, voyage.
Tome H.
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