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tout autre disp ilion . Pour les b f: , n
ffi
t
la l
i
n'a rien de rigoureux.
i.
le roi e t nominalement
l .
ul
propriétaire' c'e t a eux qu 'appartiennent en r ' alit ' l
terres qu 'ils sont censés tenir
a
fief pui que la tran -
mission
a
leur enfants apre eux a touj our lieu an
contestation et sans qu 'il soit néce aire d 'une n uvelle
investiture en forme. Or, ces fiefs leur donnent une au–
torité
a
peu pres absolue sur les Kanakas établis dans le
terres qui en dépendent, de telle sorte que , malgré son
pouvoir despotique, le roi ne peut di poser de e ujet
sans l'assentiment des chefs. C'est aux chef: qu il doit
s'adresser pour recruter es troupe ,
a
eux qu 'il est forcé
de demander les hommes dont le ecour lui e t néces-
saire.
C'est, comme on voit, la féodalité du mo en age sou
l de potisme d 'un roi.
De l'autorité royale ; du tabou.
L autorité ro ale a souffert une grave atteinte des idée
nouvelles que les étrangers ont introduites au Sandwich.
Autrefois, environnée de respect et de vénération, elle
empruntait un prest'ge irrésistible de ero anee reli–
gieuses du peuple qui con idérait comme une mon tru -
sit ' la iolation d_u tabou. ( Ce mot dans le langage du
pa s signifie
sacré, inCJiolable, dr{fendu.
Il 'appliquait
au choses au
i
bien qu 'au per onne .)
u temp de Tam 'améa
¡er,
Je roi eul était
tabou,