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DE
LA~ BONITE .
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teloL nornmé Dubry qui, sans doute entrainé par quel–
ques baleiniers, s'était attardé dans un cabaret.
Des qu 'il
fit
jour, le canot major fut expédié pour
aller prendre M. Barrot. M. Vaillant ne voyant pas arri–
ver Dnbry, envoya, bienlót apres, une seconde embar–
cation
a
terre, avec trois quartiers-maitres, qui devaient
alter
a
sa recherche, de cabaret en cabaret. Il dépecha
en meme temps un officier
a
Kinau, pour l'informer
qu'un de ses hommes était resté
á
terre et la prier de le
lui ren voyer si on parvenait
a
le trouver. Enfin il char–
gea un éleve de porter
~'
M. Charton les rapports qu'il
adressait au ministre de la marine et que ce consul vou·
lait bien se charger d' expédier par le baleinier
le Péru–
vien,
pret
a
partir pour Londres.
Mais, avant que le canot eut atteint le rivage, Dubry
était rentré
a
bord. Honteux de sa faute, il s' était em–
pressé de la réparer en louant
a
ses frais une baleiniere
qui le ramena.
Appareillage.
En
meme temps, M. Charton et le secrétaire du roí se
présenterent. lis venaient faire leurs adieux au comman–
dant. M. Barrot ne tarda pas non plus
a
arriver, et, apres
avoir congédié ses visiteurs, M. Vaillant appareilla , tan–
dis que le canot majar retournait
a
terre pour annoncer
Je retour de Dubry et rappeler l'officier envoyé
a
Kinau ,
ainsi que ceux qui l'avaient accompagné .
Bonite, -
Relation du voyage.
Tome
n,
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