DE ROGGEWEEN.
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Europe comme des criminels. Que! étoit done leur crirne
!
Les accusoit-6n d'avoir trahi leurpatrie
!
avoient-ils cons–
piré centre sa liberté, centre sori salut
!....
lis s'étc.c:nt
rendus coupables d'un crime bien plus irrémissible aux
yeux du despotisme mercantille: appartenant
a
une autre
Compagnie dont l'Occ
Jo
EN T étoit le domaine, ils
avoient osé meqre le pied sur· une Terre sacrée, donr
l'abord étoit défendu a tout homme qui n'avoit pas •
l'honneur d'appartenir
a
!a
Compagnie d'
o
R I
f.
N
T.
La Nécessité , souveraine des Priviléges , puisqu'elle
l'est bien des Lois, auroit pu cependant excuser leu r
témérité : ils venoient demander
a
leurs compatriotes, a
leurs freres, du pain et de l'eau •: sans moyens d'achat
ou d'échange , qui pussent porter !'alarme dans
les
Comptoirs de la Comjlagnie Asiatiql!e, ils ne vouloient
qu'obtenir des subsistances
que . 1ettie le rs Vaisseaux
en état de pé 't
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Australes Cle
que
'E u Ro .EJ n'<1-voit point
soumettre a sa élomi ation
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ils voulo1ent tenter .
ui devoient
!OUTnCT
a fa gloire de
·Ja Mere - patrie , et peut- etre , un jour , au profit de
cene meme Compagnie dont la tyrannie les opprimoit.
Je dois ajouter, cependant, pour la justification de la
République des PROVINCES- UlllIES, que, si elle
accordoit des Priviléges exclusifs, du moins elle n'e.n
soutenoit pas les abus : la Compagnie des
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DEN TALES intenta un procesa celle des
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DES
ORIENTA LES: et, comme il fut p
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rouvé que I'Amiral
Ro GGE
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EEN, uniquemeni occupé de Découvene;
maritimes ' n'avoit ni voulu ni pu porter atteinte a la
Charte de celle-ci; elle fut condamnée
a
réparation ,
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