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DE ROGGEWEEN.
J e n'oppose ici
a
RoBERTS et
a
ARROWSMITH, que
la
Relation de
BouGAINVILLE~
parce qu'ils ont du
l'avoir sous Íes yeux pendant qu'ils dressoient leurs
Cartes ; mais , quand on aura vu dans le Journal de LA
P ÉROUSE, qu'il a reconnu les trois iles
découverte~
et
d écrites par BouGAINVILLE , et les deux ilots voisins
de
!'lle
la plus O rientale; qu'iJ Ieur don ne,
a
quelques
légeres difFérences pres' la meme situation relative que
ce![e qu'elies ont sur la C arte dn premier; et qu'a la
suite des trois llcs de l'Est , · et
en remontant vers le Nord–
Ouest ,
il
en a découvert de nouvelles; quand on aura
vu que l'ARCHIPEL D ES NAVIGATEURS, un
des plus considérables et' lles plus fertiles du GRAND–
ÜC É AN ÉQU I NOXIA L, occupe quatre degrés ou
environ
quatre-víngts líeues
marines e!1 L ongitude; on
condura q)fe ,
ilcs
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a atoutée-s-a celles
que BoUGAINVILLE avoit
écouvertes; e ,
sans~o'ute,
!'Historien del'Amira horlandais n'e ut pas passé sous
silence
La
suite d'une si importante Déc'ouvene. Qu'on
en
juge par I'Esquis>e suivantc qui peut donner un e
idée de l'ARCHIPEL DES NAVIGATEU RS.
'
D 'apres le rapport des Naturels de ces ilcs
~vec
les–
quels L A PÉROUSE a communiqué
1
l'Archipel est
compasé de clix ilcs : ÜPOUN, la plus Orientale, et les
deux llots LÉONÉ et FANFOUÉ;
a
díx-sept 'lieues
dans
l'Ouest d'ÜPOUN
¡
la grande ile MAoUNA, environnée
d'un ressif,
OLI
les F
ran~ais
furent massacrés; a
quínz.e
lí~ues
qe celle-ci, Ü YOLAVA, supcrb
ile, et les dcux