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DE ROG,GEWEEN.
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de tclles différcnces en Latitude et en Longi1t1de ne
supposent pas que RoGGEWEEN a pu parcourir dans
une Mer inconnue ,
400
licues marines dans l'espace
de trois jours; avec ces prémisses erronées, RoBERTS
place les !les de B Au
M.
AN
a
14.º
1
o; de Latitude '
et
172
deg.
1
o
min. de Longitude Occidentale de PARIS;
et
ARROWSMITH
a
14
deg· 30 min. deLaritm:leet
171
deg.
20
min. de Longitude; c'est-a-dire , que !'un
et f'autre donnent aux BAUMAN, a•tres-peu pres, la
position que Bo
u
GAIN
V
J LLE a donnée aux iles des
NA
V 1G
ATE
u
RS; et l'un et l'autre décident áinsi
que les !les des NAVIGATEURS et les iles de BAUMAN
sont le meme Archipel : mais on pourroit, par un pro–
céd é scmblable , apres avoir supposé la meme Latitude
et la meme Longirude
a
PARIS et a PÉKIN'
~onclure
que PÉJ<IN
p
ARJS sont
1
men1e
ille.
J e n'ai fait
ése
1
Données qui é
des Géograrhes
a
ont faic;
ma~s
o
Obscrvacion
e
e
o o
f('
'u e par!' par ccl es de LA
P f. ROUSE, de l'autre , que les lles PERNJCI EUSES ou
PALLISER sont situécs a
149
degrés ( nombre rond ) a
l'Occi<lent de PARIS, et que !'lle la plus Occidentale des
NA V
1
GATE URS est situ ée
a
environ
175
degrés:
la ddférence de Méridien entre ces deux Archipels ese
done de
2
6
degrés, ou
plus de cinq cents lieues mnrirus
( par un Parallele moycn entre c.:lui de
16
et celui
de
1
3
deg rés , sur lesquels les Archipels sont placés ) .
On a vu que , pour parveni r des P E RN
1e 1
E
u s E s
aux
llAUMAN , l'Amiral R o GGEWEEN
a
fait ron e
pe11da11t ci11r¡ j ours
a
l'Ou st ,
t
il
n'a
pu fai re qu