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DE ROGGEWEEN.
REPRENONS la suite de la Relation de RoGGEWEEN VIII.'
Su1TE
pour examiner ce qui a rapport
a
ses Découvertes
uu \'Cr,<GE,
ultérieures .
En quittant les llcs de BAUMAN, I'Amiral continua ·
de faire route au Nord-Ouest , dans l'intention ou il
étoit toujours de s'élever
jusqu'au Parallele de
la
NoUVELL°E-BRETAGNE. Le lendcmain du départ , on
déco11vrit dcux iles, et l'on conjecttM"a que l'une étoit
Yue
de
deui<
l'!le des Cocos
[Cocos-Bero"]
et l'autre 1·¡1e des
iles priscsfausse-
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.
,
ment pour celles
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Verraders Eyland}
,
decouvertes, en
des
Cicos
e!
dts
1616 ,
par LE MAIRE et SCHOUTEN. Le capitaine
Traíms.
BAUMAN
fit
la demande d'y aborder; mais elle ne lui
fut pas accordée. L'ile des Cocos, dit la Rdation,
ese
fort
élevée, · et son circuit est de 8 lieues hollan-
daises [
1
o lieue$ marine.s deux, tiers ] : la seconde
paroissoit beaucoup plus liasse · son ter
geatre; elle e
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les Capitaines
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se .11ersuaüe
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móprise.
deux iles qu'ilnpercevoient, étoient cel es des Cocos et
des TRAITRES: les Journaux de LE MAIRE et ScHOUTEN
placent la premiere
a
1
6 deg.
1
o min. de Lat. Sud ,
et disent que la seconde n'en est distante que tj'environ
2
lieues dans
le
Sud. Je suppose que les iles de BAUMAN ,
quoiqu'il me paroisse prouvé que leur Laritude ne doit
erre que de
12
'deg., fussent situées , suivant la Posit ion
que leur donne la Car¡e hollandai se,
a
1
5 dcgrés de
Latitude : nous. avons vu qu'on a fait route
nu
N ord-
,
Ouest
pendant une journée; et en supposa nt qu'on n'ait
parcouru que
i
5 ou 3o lieues marin es
a
cene Route,
la Latitude, qui est M éridionale, avoit díl. díminuer
5·
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