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DU \
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EXAMEN DES DÉCOUVERTES
CARLS - HoFF, i(
fut
persllad"~
qu'i[ v'oyoit l'ile DES
CI-IIENS, il
fant
bien qu'i(. s'esi,imat alo'rs par la Lon–
gitude que l'on donnoit a cette ile; ainsi nous pouvons
condure
qu~
!'Estime
d~
RoGGEWEEN
pla~oit
l'ile de
CARLS-HOFF a la Longiturle que !'Estime de LE MAIRE
et SCHOUTEN assignoit a l'ile DES CHIÉ-NS , c'est-a–
dire' a
,142
degrés a
l't:Jcciden~
de PARIS. Mais"la
suite de cet :Ex amen prouvera que la Longitu de ,de'
CARLS-HOFF doit etre plus grande d'enviro n 5 degrés'
et demi que celle que !'Esti me de LE
:M
Ar RE et'
SCHOUTEN donnoit a leur611e DES CHIENS.
m.·
Su1rn
CONTINUONS de suivre
RoGGEW~EN
dans sa Tra-
ou
VoYAqS.
versee du GRAND-ÜCÉÁN ÉQUINOXIAL.
seaux forellt ·en danger de l'etre : ils se trouvoient
engagés, au milieu de plusieurs iles, et environnés
d~
rochers et de -ressifs, sans qu'<m put reconnoñre par
ou ils y av.oient pénétré : ce ne fut qu'aptes cinq jours
d 'i nquiétude et de danger' et a 'Ja suite de plu sieurs
manreuvres délicates, qu'ils parvinrent enfin a se dégager
et
a
r~gagner
la haute nier.
'
!les
Ces Tles s9nt ues-basses , et quelques parties en sont
.Pll'11icituses.
submcrgées ; mais les Naturels y naviguent avec des
Canots bien cónstruits et d'autres Embarcations pourvue¡