'RECHERCHES
<le Latitude ou l'on rencontra des iles. Cette
second~
Relation a laquelle les Géographes semblent s'etre
le
plus artachés , a done supprimé une circonstante jm–
.portante , et confondu les événemens.
DRAI«E ,
accueilli., comme on l'a vu , d:un second
coup de vent qui l'arrache de la Baie de
PARTING OF
,pRlENDS,
dérive une seconde fois dans le Sud, mais
seulement jusqu'a
cinquante-cinq deg1·és :
et' a cene
h autcur ,
nous nous retrouvons,
est-il dit dans la Rela–
tion ,
parmí ces memes íles síwées au Sud du Contínent de
l'.Améríque, desque/les íl a été fait mentían en parlant
de notre sortie du D étroit.
11
y
passe deux jours
a
I'ancre.
Un troisieme coup de vent le chasse de ce Mouill age;
·¡
arvie nt a en attraper un autre un peu
récéde
1:
1
·1
y
p ss
t
o.isjours.
e coup
e v nr
fe
surprend encore
i
pous
'"" t
e
a-tí
,
jusqu'a L'extré-
la.n us oisi1
e
l/,
L
•
P 8le Antarctique,
a
5
0
é
e
L
ti
'di!
,
qu'i l atteint le
28
d ' Ocrobre.
A
-'{Je/a de ce point,
continue
FLETCHER ,
il
n'existe aw;un Contínent, aucune lle plus au Sud;
les deux Mers se joignent et se confondi:nt
•. On ne
s'étonnera p as , sans doute, que
D
R A!( E
n'ait pas
aper~u
les petires !les de
DIEGO
R AMIR ES'
siruées
a
environ
I
5 lieues dans le Sud - Sud - Ouest d u C ap de
H oRN,
vers 5 6 degrés et demi de L atitud e Anstrale.
Apres avoi r séjourné deux jours
a
l'ancre devane les
iles les plus M érid\onales qu'il ait vues ,
DRAKE,
le
' C'esi:,
a
:z.
ou 3 minutes
pres ,
fa
Latítude du Cap
d~
1-lorn.
• Voyez
la
OTE
V
a
la
suite
de
ces Recherchu,