A L'HISTOIRE NATURELLE.
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aux Américains-U nis : les premiers sauront meme le faire
DAr.Ell'ES>
tourner
a
leur profit; bientot on les verra, se couvrant
J .
PCche et l'ro utt.
du Pavillon de Po
R
TU GAL qu' il leur est si facile
d'obtenir , saisir avec adresse
les
facilités que cette
nouvell e disposirion va leur olfrir , donner plus d'exten-
sion
a
leur P eche du Sud, et multipli er les canaux par
Iesquels la
Contreb~n de
détourne, au détriment du Fisc
dont elle élude les Droits, une panie des précieuses
productions de ces Contrées M éridionales soumises en
apparence
a
la
Couronne de PORTUGAL, et, dans le
fait, tribucaires de la GRANDE-BRETAGNE. Quant aux
Américains-Unis , ils onr sans douce plus
a
redouter
l'accroisse.111ent que pourra prendre
la
P eche anglaise ,
et la d!minution qui peut en résulter dans leurs béné -
fices, qu'ils n ont a crarnor
l'effet passager de' la con-
currence po tu
at"
on n úve
iliorie.u se,
plei ne d'é n rgi
ns
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sen-
timent de se.s
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rront
balancer les
Pour
l'Article
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page 3. ·
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dit, d
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apres tous les Naturalistes qui se sont
Pttoc¡ 115
s,
occupés de I'Anatomie compa•rée , que le
Plioque,
le
M orse
et le
Lam
in
étoient les seuls animaux que l'on
dut appeler Amphibi_es, parce qu'ils .avoient la
fac~lté
de
respirer ·et de vivre également dans l'air et dans l'eau ;
et, en m'appuyanr des
meme~
Autorités, j'ai ajouté que
cettc facu lté tenoit
a
ce que , dans ces
trois Gcnres
s ..