D E M A R C H A N D.
.2·69
differen t de celle que nous venons de décrire
par le
nombre et la disposition d ·s rayons jaunes que présentent
les Écailles' par l'élévation de ces memes pieces' par
une couleur jaunatre plus ou moins uniforme sur
le
plá'stron , et par le peu de saillie des lames qui garn is–
sen t cette couverture inférieure. Noos ignorons si ces
Variétés sont constantes; si
les dépenden t du sexe ou
du climat, &c. Quoi qu'il en soit, nous croyons devoir
rapporter
a
quelqu'une de ces Variétés, jusqu'a ce que
de nouve ll es observations fixent
les idées a ce suj'et ,
la
Tortue Terrestre,
appelée
H écate
par BROWN
1
•
C ette derniere, suivant ce voyageur, cst naturelle au
Contínent de l'AMÉR!QUE, mais cependant tres-com–
mune a la JAMAJQUE
ou
l'on en porte fréquemment:
sa carapace est épaisse
et a souvent uo. pied et demi
de long; la surface <le
divisée en
he xagones o lo
1
urs
circonférenc
sont jaunes.
errapene
de
peut etre a s
que
La
o
trique .
Au reste , nou-S. n
cesserons
le r épéter , I'histoirc
des
Tortues
demande encore un grand nombre d 'ob–
servations pour etre entie'rement éclaircie
: nous ne
pouvons qu'indique"r
les places vides , montrer
la
maniere de les remplir , et fixer les poínts principaux
autour desquels il sera aisé d'arranger ce qui reste
iL
d écouvrir "·
ne pcut pas t trc la
Ta rapene
de
Dampier,
la
Géo111/1rique
d
la
L<'pMe;
et
il
paro'it doutcux que celle-ci se.trouve au
Cdp.
ette
H lcau
n'cst pas
l'Hicau
des Espagnols , ccllc
de
/1t1111picr,
qui
st
la
Tar.;ipbu
de
Brown. (Vi e
>uprr' .)
179
r.
F
évrier.
TORTUES
DE
Trnne
et
n'
EA
u-no
uc-E.
La
Géométri<¡ue.