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J79
I.
Février.
3.
PÉTRELS.
Le Quebranta·
huessos,
VOYAGE
ne sait pas quelles sont les retraites d' oú ils viennel1t
et ou ils font leurs nids "·
ce
On voit les
Quehrantahuesso1 ,
dit ailleurs
PERNETTY,
s'abaisser et se soutenir
a
fleur-d;eau' effieurer les lames '
et en suivre tous les mouvemens, sans paroltre remuer
les ailes qu'ils tiennent toujours déve loppées et étendues :
1
quand ils. ne se reposent pas sur les lames ,
ils
voltigent
autOUf et tres-pres des Vai sseau:x.
»
On auroit peut - etre pu h.ésiter, d'apres la seule
D escrip tion
.fa.hepar D.
P.
E R NE TT
y'
a
ranger le
Quehrantahuessos
sous le Gen re des
Pétrels;
mais le
n :r
RE 1
No L D
Fo
R s TER '
Naturaliste aussi savant
qu'exact'
et
qui fut souve nt
a
portée d'observer cet
oiseau dans le
2.d
Voy. de
Come,
dit que «le Genre des
Pétrels
qui, dans le dernier Systeme de VoN-LINNÉ, ne
co11tenoit que six speces, en a acquis douze nouv.elles
Australe la
111
grtosse.Es,p_,ece, ajoute-t-il,
e les Es ag.n0ls ap,pelle
Quebrantahuessos
o
<];?~
-
tl"el le '
P.étl-Drfrare
o
Ossifrag~e
J;
la
~e
rocellaria Pelagicaj
q ·
habite égaleme t les Mers du Nord et celles du Sud,
et qui se renco ntre sous presque toutes les Latitudes
1
•
»
On ne pent guere douter; d.'apres le rapport du
capitaine
e
o o
K '
et d'apres celui de G
E
o
R GE
Fo
R
s
TE R ,
qu'íl n'y ait des
·v
ariétés dans l'Espece
du
Quehrantahue ssos :
ce
indépendamment de divers
autres Genres d 'Oiseaux de Mer , nous trouvames
sur la
TERRE
DES
ÉTATS,
dit le Citpitaine CooK ,
un grand Oiseau
brun,
de
la
grosseur d' un
.Albatros,
que
PERNETTY
appelle
Quehrantahuessos,
et
que
nos
Matelots
•
y·