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D E M A R C H A N D.
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les autres productions naturelles, que , chaque jour ,
ils sont dans le cas de rencontrer sur leur route. Mais,
quand j'entreprends de décrire ceux des Oiseaux, des
Poissons et des autres Animaux , affectés
a
l'Océan ,
qui semblen t destinés
a
faire escor te aux Vaisseaux qui
le traversent, je n'entends pas en faire une description
Je scalpel
a
la main ' et telfe qu'elle puisse servir aux
• progres de
l'
Anatomie comparée de
l' Homme et des
Animaux :
ce n'est pas que les recherches de ce genre
ne soient aussi curieuses qu'elles sont intéressantes et
utiles;
t notre illustre
ÜAUBENTON,
le
Nestor
du
Musée
fran~ais,
qui compte ses années par ses D écou–
vcrtes da ns la Science qu'il a créée, a prouvé par l 'applr–
cation de ses principes, que la mine qu'il a ouverte ,
est aussi inépuisable par sa richesse, qu'elle est précieuse
par la nature de son produit ·
ma~s
aeue-branc_he des
Sciences naturcl
tt
d
ans le.que!
j'ai du circo ser
r,
iles Navi-
gatcurs, qu'on 1
ne
es
aracteres exteneurs ,
gé néraux et part
-1
r-s,
· ser\' nt
~
d s -gg!Je chaque
Genre et chaqu Es.pe.e ; qu'on leur in
'que les dimen–
sions principales , les formes les plus remarquables , la
couleur dominante et ses variétés , les habitudes les plus
importantes' qui doivent aider
a
reconnohre chaque
animal '
et a distinguer celui qui pourroit etre in–
connu , de celui que déja l'on connoit ; qu'enfin on
1 ur apprenne , d'apres 1'expérience et le rapporc des
oyageurs , que! genre d'utilité on peut retirer de
chaquc animal , en particulier ; quels parages chacun
d'cux occupe ou fréquente;
a
quelles latitudes' et dans
,
qu ellc saison, il est ordinaire, dans )'un et dans l'autre
H émisph ' re
de commencer
a
'oír errain es Es peces ;
A
i.