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r.
Janvier.
21.
C'HON.
92
VOYAGE
quºiis passent au Printemps de l'OcÉAN dans
la
MÉDI–
TEHRANÉE; qu'ils se montrent sur les cotes d'ESPAGNE,
de FRANCE, de CoRSE, de SARDAIGNE, d'l TALIE, de
SICILE, de GRECE; et qu'apres avoir parcouru les dif–
férentes parties de cette Mer ,
ils se rendent par le
D ÉTROIT DES DARDANELLES dans la MER - NornE
qui, selon ARISTOTE , est la
seule ou ces poissons
fraient : cependant S T
R
A
B
o!'\
rapport~
qu'ils fraient
aussi dans
la MER
o'AzoPH.
Leur r etou r· se fait en
Automne; et cette úerniere saison est ' aussi favoraBle
qui
y
étoient pour ainsi dire collés : ils ont environ un pouce
de long. Leur corps est formé de deux parties distinctes, et
a
peu - pres égales en lóngueur, et il a ( <lit
Pernetty)
l'appa–
ren
d'un compos ' de cordes de boyaux, dont il a la trans–
paren e. La
artie postér\c
1
de
I'
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111
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<livisée en quatrc
br 'ns,
1
t
for ant la patte d'oie:
du point
e
' qui se trouve
a
peu-pr
e !'animal , part un
tube
postérieure, se trouvent deux petites pattes crochues ; et deux
autres plus gra11dcs
sont
placées au milieu de la longueur
du tubc ou de la trompe; ces quatre pactes servent
a
!'animal
pour se cramponncr sur les corps auxqucls íl s'atrache, et sans
doutc qu'avec leur secours il peut se procurer un mouvement
progressif.
J'ai décrit ce perit animal aquatique d'apres la Figure que
,D .
Pernetl)'
en a donnée; mais
il
faut voir la Figure m · me
daos l'Ouvrage. (
Voyage au» íles Malouines,
T~me
J.cr,page 94
et PI.
1 ,
Fig. 5 et 6.)