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RéRexions
fur la pene
Jc:svaHI~aux.
2.o-6
V
o y
A G ""E
moins fu;.ette
a
caífer '
)e
vai1feau
y
étolit
moins en clanger que dans une partie moy.e11-
nemem foihle q'ui caffernit
a
:la
compre!lionr.
Mais
íi
celle-ci efl: aífez forte po_ur caíier cerne
glace
épai:ífe daos
laqueUe
l'
on
eíl:
renfermé,
&
pour en comprin:ier les mor-cea11x , leur
épaiífeur ne permet point
a
la compreffi on die
les caífer entiérement, de les broyer ,
&
de 'les
amonceler. Ils oppofoBt ·une force .conúd.éra–
ble; le vaiífeau ne
pouva.ntles moudre ,
eil:
obligé de
la
füppoJ.ter en
emie-r,
.&
il efi écra–
fe,
s)il eíl: plus foible
·qu'eux.
Si
au conitraire
fa
gface
ou
l'oo eft enfermé eíl: d'une épaiífeur
moyenrie, elle caífe
bi·erilt6t
a
la
comprefficm
qui
la
moud ,
en
amoncele
ou en faiit
couler
les morce.aux; le vaiífeau cede avec eux
a
la
force qui le pouífe; il comprim e également
ce~
morceaux
&
les broie, il eíl: plus
fort
qu'eux.
Ils ont
cependant
émouíié
la force agiifaote ,
&
elle peut fe ralentir. Si, dans ce mo-1vement,
le vaiífeau.rencontre une partie
phlls
forte
que
lui , il caffe indubitablement.
Plufieurs vaiífoaux périífent chaque année
par ces effets. Suivant les informations que
j'ai pr'.ifes fur
la
fac;on. dont ils avoient
été bri–
{és, ils l'ont
été
prefque
tous par l'arriere,
•pres
avoir
été mis fur le
coté '
&
apres
que