VERs LE
PoLE
nu
NoRD.
201
chemin
a
chaque braífée ; la glace craqudit
aifément deífous; il eíl: vrai qu'il
y
avoit qua–
torze
hornm~s
qui pefoient fur fes manivelles.
J'admirai les reífources du courage des hom–
mes, & je trouva,i cette invention tres-belle,
quoique pénible
:
quel dommage qu'elle ne
doive
fa
naiífance
qu'a
la
foif
de l'or,
qui va
jufque fous les climats glacés áu Pole s'abreu–
ver eles travaux & des miferes de 1indigence
!
Nous
étions
placés dans
notre petit baílin,
de
fa<.;on
que l'avant
préf
entoit
a
fon
entrée.
Il
falioit
do.ne,
pour que
le vaiffeau füt écrafé,
que
fa
force
de
l'avant
a
l'arriere cédat
&
elle
efl la p u confidéra
le
dans cette direél:ion.
Les
V;:!i
eaux Iollandois defiin
1
pour ces
para
es
,
font d'ailleurs d'une
confhuB:ion
folide
&
ex
reífe
our la navigation des glaces.
a mem ru re eíl: lus forte que celle des vaif-
fi
aux
~1
m "me ran ·
prefi ue fans
maille.
beauquieres ,
iíl ires
varan–
orq ue cour es baux
&
géné-
r
leme
t
ou t
s
les
te
s
de
li iD
font
a
ra
"!t eíl: fur-tout
g
fi
cce des
vai auxHol·
lanclois defü–
nés pour ces
dím..cs.