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\

.

Vo

Y.A G :l!

Je mis ma main une autre fois dans une 'ba–

)..eine morre qepuis long-temps , elle me parut

plus chaude: mais je ne v,oulus pas

y

rehafarder

}non tbermomeu.e , car on l'av.oit perdu la

pgerni~re

fois dans le trou que

l'

on. avoit

fait

¡?our te

plonger.

La

copl~ ur

de la

balein~

eH noire ; le def–

fous

&

les bords

el~

la

g4eule font

blancs

ou

femés

de

cette couleur; les paupieres, le nom–

bril,

les mamelles

~le

cpntour

d

la nature,

font

égalerpent blapcs ; ces deux derniers forment

a.·

la

vue

une ef

pece de fleur de lis blanche.

Si !'animal a ql:!elque cicatriGe, elle eíl: éga–

.l~n

ent blq.µche,

&

cela

arrive fouvent

ai1x

nageoires '

a

la queue

&e

.au

dos '

par

les

abor–

d age~

des glaces, ou par

le

com!Jat du

po!!fon

a

fabre. Cene

couleur

efr moins étendue dans

les jeunes que

dans

les vieilles ;

&

j'ai cru

qu'elle provenoit des humeLirs

&

de la

force

de

l'age.

. scarnbées

Von

voit

fur la peau ,

le

plus

fouvent

v1vans

>

&.

1

l

·

d

f

d

r

b'

croiffallS

fur

10US

es nageoues ,

es

e peces

e

icara ees

ia peau de Ja

·

r

h '

·1

·

tr

ealeine.

qm

y

iont accroc es ;

1

s

y

crowent

&

y

p ren e11t

leur

nourriture ; ils font de la grof–

feur d 'une

perite

féve.

. L'on peint le dos de

ces

animaux beaucoup