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e u

plt

anciens de 1'

Angleterre~

Les

p~mvtes

ont

bel hopital

les jeuncs gens une bonne école.

Long.17, 30¡ lat.

.5 J

,22.

(D.

G) )

CRU.RALE (

ARTERE),

Anatomie.

Cette artete

tfi

trop conficlérable pour que l'on en doive négliger

l'hííl:o1re ; nous en commencerons la defcrjprior

depujs la place dans laquelle

l'hy

ogafirique fe fé–

¡tJare d'elle: elle avance derriere le péritoine

der–

riere le ligament de Fallope, foutenue par le mufcle

compofé

pfoas

&c.

de l'iliaque. L'artere , la veine

le nerf font un paquet, que la celluloúté enve–

loppe

réunit.

Deux branches conúdérables en fortent prefqu'a

la meme

haut~ur;

l'épigaíl:rique devenue célebre

par fon anafiomofe avec

mammaire, fort du

tronc,

deux pouces áu-deífus de la pattie la plus

jnférieute clu péritoine,

fous l'anneau de Fallope,

plus pofi:érieurement

plus inférieurement que le

cordon

fpermatique~

Sa premiere branehe va

motte

au penil ,

la tunique vaginale, a

cremafiere, elle s'anaíl:omofe

avec la fpermatique. Cette branche fe clivife au Bga–

:Jhent rohd ' aux airtes '

la rtiQtte' anx grandes

Ievres de la femn1e :une de fes branches rentre cláns

has-vent.re

avecle ligament rdnd,

s'anaíl:omofe

avec uhe branche de la fperrnatique ; c'efi par le

m9yen de cette branche, qui cependant rt'eíl pas

Bien grande, qu'on a expliqué la liaifon de la matrice

avec les mamelles.

L'épigafi rique dorlrte quelquefois l'obtttratr.lce ,

óu

du moins la coronaire du pubis ; elle s'appuie

enfulte fur le péritoiné, couverte par la partie chár–

nue du tranfverfal ,

etrfuite fur le tendon de ce

tnufde, elle .monte

fe porte en-dedans : nous

i>mettons fes pe tites branches rtmfculaires.

L'épigafirique recouverte ptéfentement par 1e

mufcle droit; fe partage

deux ou trois pouces de

ros pnbis. Sa branche extérieure remonte par les

chairs

dli

mufcle droit,

fe termine dans le tranf–

verfal , apres quelques an¡¡íl:oñ10fes avec les mam–

:tnaires externes

les tfois dernie'res jnrercoíl:ales.

lJranche interne en couverte par le mufcle

arolt; elle dohne une artere

l'ombilic' qui s'anaf–

tomofe avee

un~

branche de la mamniaire,

qui

p.é–

netre dans le fdie avec la veine <?,rnbilicale,

qui

s'y

unit avec

des

branches de I'hépatiqtte

des

:tnamrriáires, difiribuées au ligament fufpenfoire

cette meme artere donne' nñe branche defcendante

qtíi accompae:ne l'ouraque

les arteres ombilica–

les'

fe ramifie

la veffie' doat les arteres

~on'i

muniqueñt ávéc elle.

D'autres branches de cette méme atter"e épigaf–

ttique intérieure, font fur la furface poftérieure du

:tnufc1.e droit trois ou quatre anaftomofes avee des

bram:hes defcendantes de

mammaire. Ces anaf–

t0mofes font bien confiantes , mais elles n'Ónt ríen

d'aH:ez conúdérable pour qu'on puifre leur attribuer

cette a1ternative

mouvement d1:1lait,

EJUi

fe p·orte

des tnamelles

l'utérus'

de l'utérus aux

rna–

:tnelles. Des anafiomofes auffi petites

trouvent

par-tout entre les arteres voiúnes, fans qu'o'n fot,.lp–

~onne

d'antreS VUeS

!l<ItUl'€,

que la facÍÜtatÍOn

elles apportenr

a~1

mm.wérrient du fang.

L'artere abdominale efi moins cOnnue_

un peu

plus

pet~te;

elle fort du tronc 1:1n peu exté.riem:e–

ment' elle

re~onre

le .tong. de la crete de l'os des

iles,. entre le petit

obl~que

le tra;nfverfe ;. elle

donne des branches

l'iliaque' au petit obtique; atl

nerf cr.utal, att rranfver(al :elle. en donne une peu

c;onfldérab1e au cordon fpermatique

au cremaf–

tere,

elle a des a afi:omofes avec l'ilia'lue anté.–

rieure. Arrivée au

milíeu

de la crete des Iles , elle

,quitte Pos

fe termi

ans le m\.lfcle

tnmfverfal:

:r~rlle

JI,

e.ie

~}y

unit aux derñieres intercoll:ales

aux Iom..

baires.

r::e petites.branches _du

t~·onc

crural vont

l'épine

des lles , aux glandes mgumales, au droit

fe.J

mur' au fafcia lata' a l'os pubis'

peB:iné aLt

premier des abduB:eurs dn femur.

Elle donne vers l'intérieur de

cuiífe la honteu(e

externe fupérieure;

la rtlotte ' aux grandes levres:

dans l'homme,

pénis

au fcrotum.

Quelques branches mufculaires, o

defiiriées

ame

glandes inguinales , naiífent enfui\e ;

fous elles

honteufe externe inférieure; qui fe potte aux levres;

de la vulve ou au fcrotum; elle a des commt nica–

tions ave e les arte res fuperficielles du pénis.

troric

e rural

czonrinue fa rnafczhe, appuyé fur

mufcle iliaque, couvert par les glandes ingui.:

nales,

donne a

has de l'iliaque une branche tres–

confi~érable,

c'efJ:la. profonde du fémur, qui exige

une ligature particuhere dans les ampmarions de

partie fupétieure du fémur.

Elle efl: un peu poftérieure

extérieure, par

r:apport

fon tronc. Ontre les deux circonflexes

qu'elle donne prefqu'a_fa naiífance,

outre quel–

qnes branches mufcula1res, elle donne quelquefois

la hor1tel1fe externe inférieute,

une b:ranche qui

fe diviíe

qui paífe par le vallon

fous

tete

dt1

f¿mur' pour aller s'unir

une branche de la circon–

flexe; l'autre branche fe contourne par le vallon

'~'

entre !e petit trochantere

le fémur , pour s'anaf–

tomofer avec une branche dé la meme

circoriflex~

interne.

Une btandie, conipagne

:ciu

valle, defcend

juf~

qu'a la rotule.

. ..

. Sous le petit trochantere,

entre

le.

premieN

fecond tríceps d'un cot

le vafie interne ele l'au·

t~e

profonde produit la perforante fupérieure

c'efi une branche confidérable qui fe contourn'e entre

le fecond adduB:eur

le vaft interne, autour de la

r.acine du grand trochanrere'

paffe

la partie dor–

faie üu fémur; entre le quarré

grand

tríceps~

fe divife au feffier, au quarré , au,l >etit trocnantere

;¡

~an~íl:omo(e ay~c

la circor;flexe

¡'Jt~í;'ne

pl,uúe-ur~

mame

res

,.t?c-

f~1t

un cerde entre le '<!enx trochan-t

teres avec les branches de eeue attere. Nous omet–

tons les branches que ia hanche , dont nous parlons

qonne a,u grand nerf,

les

branch~s

mttf.cuiaires,

qui fe divifent

la moitíé fupérieure de la cuÍífe.

La profonde continue fa marche 13ntre le feconcl

t.riceps

vafie interne; elle donq.e biento,r apres

perforarite moyenn:e qui perce Les chairs

€Iu

tri.J

ceps, ou

qui

paífe entre ,ce mufcle

fe6.ond des

adduél:eUTS ; elte donne dans

partie dOl-fa}e du fé.J

mur des .branches rnufculaires aux fléchíífeurs dú

tibia ;

une efe fes branches remonte p·our s'aoaf–

t9mdfer ávec une des branches de

pre1niere per..g

forante

q'ui

vont au grarid

trochant~t

eíl

elle qui

donne le plus fo'll.ven

prerni:ere nourrícier<:.r

fémur..

·.

La profonde cÍonne

enc-or~

que1ques branches

mufculaires aux fléchiífeurS> du tibia; cette branche

perce ' quelquefois le tricepsJ

perfora.n~e

infétie!-lre

~onne

gtíelc(ue.fois

fe–

cpnde nournc1ere, elle v1ent cependant quelque..;'

f.ois du tronc de la proforide.

íi

eíl: u·es-ordinaire de

voir deux nourricieres, dont l'une

remon~e

l'an–

tre defcend; les deux nourricieres ont tute anafro–

~ofe

dans re canal médullaire de l'os.

Une autre branche de fa profonde va aux· fléchif-_

feurs

aux gran·ds tríceps ; elle

s~anaíl:omofe

a ec

une branehe de la pop!itée fous les tégumeus;

divife aq reíl:e au biceps, au vaíl:e extei-ne, a-u pé–

riofi:e fui-meme. La nourridere inférieure nait quel....

quefois -de la protonde.

d~s

premieres

branehes de la profonde, efli

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