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VER

VElt

Le

ft'f.o11vement

tJtrmiuiiAire

ou périflaltique de5 in-

le de navette,

&

l'huile

d'amandes ·douc~5

¡

mais a¡qrs

tellíns íe fait par l.a concraé}ion de leurs ñbres de

jJ

faut donner

a

la foís une grande quantíté d'huile

h1ut

en bas; comme le mouvement antipénllalrique .

pour

~f"perer

de cuer cous les vers répandus dans les

fe (aít oa.r la contraélion de leurs

tibr.~:s

.de pas

~n

incel}íus. On doic done plurót adminillrer les fubf-

haut.

f/.o_ye:,

PíRISJ'

ALTJQ.Ye.

canees huileufes daos les vio lens fympc.ómes qlje cal,l-

(,~

concraqion qui arrive dans le mouv

eme

n.t pé..

feo.c les vers, paree qu'.elles relAchenc les cuníques

l'illaltique, que d'aucres appellenc

'!)ermj¡;u/

a.in,

par!:~

d~ii

iorellil)s fpafmodiquemJ:nt coocraélées. les défen•

qu'il retlemble ame mouyemens des vers, n'affeéle .

dene

s5l

l

es. oig

o ene d'uo mucilage. moyennant quoi

pas toures les partiés des int!!llins

.t

la fois

1

mais une

on peut ·

apr.es

cela •admi.nifirer .avec .plus ·de

fdrec~

partie apres l'aurré.

· les remedes purgaci'fs.

VERMICJJL.AIR.ES

,

~;,

¡{

11atom.Je, e.ft

1-e

nom qne

, Le• fubfbnces falines fonc

aul~

vamées comme

d~

l'on donne

.a de

ux éminences du cen·eJer

licuc.~es.

pres

bons

wrmifugu

•.

une paree qu' elles .détruifent le

d1,1 qu_3critme .vencricule du

c~rveau

t

,elles · fe nom-

ri(!'u cendre de ces ·

anin~aux,

'JUe paree qu'en fiimu-

rnent en 'lacio,

proceffiu

ou

apt~phy(es

yermifurmu ,

lam les

~nteO:ios,

elles en

procu-~:,eot

1'

évacuacion.

l"~e;:.

C.ERV,EAu

.&

Al' Q P,IY~Jf .

·

fl!r-rou~

(j

Les fels fonc diJlous dans une furlifan,.rc

1/ermictllairts,

ell aufli le nom que l'on donne

a

quanrité d'eau. Ceci ell vrai des fels neurres, amers.

qua.tre mufcles de .chaq

ue

main

/.JI

-4e ' ¡;haqu.e pié,

tels que ceu.x ..de Glauber .

Epfl'lm, de

S~dlidtz.

AUÍ

c:ireot les doigts

&

l.es

orre.ils vers les pouces

&

d'Egra,

&

de Carlsb2ch, qui pris dans un véhicule

le gros <i>rteil.

On

)es 110nlme .au(Ii

.tumbrüatl,x.

PoJ,

approprié •

.&

pendanc un efpace de tems confidéra-

LuMB.Ill~AJJX.

,

.

1

,

ble , produifeoc d'excellens .etfets, fur-tour .dans lea

V~RMJt u L.AIIPi

:BRU,:.A,.Tii,

( .Botan.)

-efpelcc de

jeuues perlonncs, incomm,odées de ·l'efpece de vers

petitt: joubarbe

~

.fleflr jaune, nommée par

Tourne~

,- appellés

l.eÍiiti,

&

des vers )arges; paree qu'on ne

fort,

[etiu.m

/!.llrPtl.f!l,

1/Cr~,

flore

.Juttfl.

Voye;r.

)9u-

les dtrruit pas

fi

bien .par

le~

purgarifs, qui prddiJi•

liAR. E.

(D.

J.)

. . .

fent des rpalines , · que _par les f.els

&

les eam: faJines.

VE.RMfCJ,J LÉ,

'ltf'filf

.tlt

Stulptu.rt;

le travail

'Ptr·

Il eft ccrrain que les fels de

l•efp~c:e

vitriolique,

micul.é,

ell .un

pUlf.f;Jge

rutJiqué avec

cer~ain~

eutre·

ont eu long-rems la répucatioa

d'~r,re

de bons

-vermi.

Ju gra vts

av~s:

J.a pei:nce, de·(orre .que c.ela

n~p-rt·

ji1ges

:_

&

les

.e~ux

. de Pyrmonr qui

conrie~nent

un

fente comme des cbemins faits par les vers.

-

virriol fubti.l de Mar5.

fon~ cr~s-.bonnes

pour la cure

VER.MJCULITES,

·(

flif/.

nqt.)

ce fonc des

·~orps

des

tenit1,

&

des vers fpiraux.

marins

pét¡ifi~s,

qui

~e(!emblenc

_a

des

yers

~mur·~

S'il y a des remedes miles pou.r quelques cas, c'ell

till.~~

fes un, daos

l.es

autres; on les nomme aúffi

he/·

afldrement pour f:.elui ou il efi quelhoo de faire rnou-

mÍ/Jt9litu.

mais plus

c.ommu~ément

ltJjaiiJF

'Ptrmi·

rir

&

el)atler les

vers

.

Les weilleurs pour cet effec.

eulft.iru .

Voyez

;es .artic/e¡.

fonr parmi les gommes, l'atla-fretida, le fagapenurn.

VERMlFORMES, apper¡djces

wrmifgrme¡,

'{e';,

l'opopana~,

&

la myrrhe; parmi les pla11ce·s,

ü

ta·

Anqtf)mie.

)

nom de deux av:,oces miroyennes du cer-

n~fie , le

fcordium

&

l'abfynthe; parmi les

ra~inero

vele~; l'un~

antérieure

&

íupérieure quí regarde en..

·

bulbuf.es,

les différentes fortes d' oignoos & Q'ail • '

devan.t,

s5l

L

a~~r~ po.~éri!!!Jr~

(x

inférj~prt:

tJUÍ va en

pa

rmi les fruirs, les amandes ame'res, & l'huile qu•

arriere.

·

on en exprime; la barbocine, la graine du catapu.

ún les

l.lPPelle

vermi.for'lltt,

p~rc~

q11'elle$

r~

II.em-

ria,

~ au~res

de

m~rne

na cure: on peuc m!fer ces

blent

a

un gros bout de vers de rerre.

1forres de • remedes aJee le·s ¡¡útres

~-popr

JJn fucces

VEJiMlFl,JGJL (

MMtf.

&

¡Jfqt.

mM)

nom.,gé.

plus afluré ,

~

.

·

.;

néral dunné aull différens remedes vantés en méde-

Mais il refle un autre fp.écifique béaucoup plus .ef•

eine da o$

)!:$

!:a$ ol)

il

~··~git d.'e~putf~r,

ou

<!~

fa ire

ficace, tiré· du regne rhinéral , qui . efl le vif-;lrgenr,

mourir

l~s

vers qui fe rrouyenr

~ans

le corps hu-

lequel

cflliugulieremen~

morrel aux vera,

&

décruic

m ain, f.urcouc d¡ans

l'~omác

&

les entraillcs, ExJJ9·

leur mouvemer¡t vital, fans qu' on puiffe ! expliquer

fans

C!J

P!!l! eJe f11Uts,

<fapr~s

lioffman, ce q1!'1l faur

íon eff•'t par

t.!

es

prin~ipes

mécaniq.ues,

·

;,

penf~r .tf~

ces différens remeC!es,

&

que)lrs font les

On donne !e mercare doox bie11 •préparl! fans pur-

pr~¡:íJ.!lri9o~

ª

Qb(~rvli!r ~t) ufíJn~

•d!!s ups

oq

.<h:s au·

gacif, pu .avec un _purgacif eel que le diagrede, la

tr~s.

1

fcammon~e

f"ulphurée

1

la réline de

jal¡~p;

on donne

01)

r.qrppte ordinair:-ement au nombre de5

Y~rrmi-

aum

l'érhiops minéral fait d.' un mélange exaét de fou-·

fugr¡

1!!•

:¡cides, tels que le fue de cicron, d'oran-

fre

&

de

vif..argenr; Hoffman donnoit le vif·ar-genc

ge·, de limon, de grofeillt;:, d'épine.vinerre

&

de gre•

bien député,

&

tong-rems broyé avec . du

fucr-e·~an-

'I:Jif-1!;

1~

phlegme

~ l'efpri~

de vitriol; la crc!me de

di, en failant précéder-

~e

re·mede

d~~ -

préppraríont

tarcr~

t

l,e

vin

'arrar~u~

9u

Rhin,

,&

le vinaigre; {ons

néce(J!Jires.

,

ces remedes ne font de faifon, qqe lorfqu'il

y

a cpm-

Pn recommande dans les mémoires

d'Edimboprg~

p)icacion de chaleur, d'ardeur concre nature,

s5l

de

1.

V.

la poudre d'érain pour les vers grfles ou longs.

comrpotion fébri!e; ·

~lors

non- íeulement ils corri·

on en

p~trle

comme d'uo excellenc

Vt[t/lifu¡e

pour

gent la

C'h:¡l~UF

1

rn_,is jls

ré~fienc

puiífamenr

a

fa

pu-

les vers CU('urbucins. Qn emploie

au{h

CC

remede

tréfa4ior¡ ,

~ ~é~ournenc

la maliguité dangereufe de,s

conrre le crenia

Qll

ver plat, qui •eft li

difficil~ ~

dé·

fympt~rn~s,

.

.

truire; voici la

r~cette

de

e~

'tlti:mifugr;

on pulv¿..

Qn

rn~~ ~Qns 1~ ~13(f~

des

fltrmifiigq

les amen,

ri[e t>ieo foignculement pne once.

&

demie d'érain

tels que

1'-lbfym~e,

ll! perite cenraurce ', le

l~ordium,

fin.; on mtle cecee poudre paOée par un tamis

a~ec

le!

~retle

de ñtan¡is', la rue,

&

plus encare les amers

huif ónces de melalle; on purge d'abprd_le malade;.

qui onr pne qu¡¡licé purgarive, tels que l'aloes, la

enfuite le jour fuivant· on lni tlonne

~

jeun 14 moi-

thubt!rbe,

1~ ~oloquinre, ~

les rrochifques d' Alhandal.

rié de cetce compotition. le lendemain la rnoi,ié de

Quoique

·~es

remedes ne

d~tn:IW!'!nr

p'as ªblolurnent

l'aurre moicié,

&

le

troiliem~

jour on donf!e le -refle.

le' vers, accendu qu'il s'en engendre oon-Í!!ulemenr

JI faur s

1

abtlenir de tol)s let remedes

mert-uri~ls

&

Qans la

rhub~rbe

&

l'~tbfynthe,

mais encare, COm·

¡des drafliques,

CO

CaS d'une l?ile acre répandUfF

rl¡~nt

me ""

n:tmttrqQé:HildapQs~

QeHI.

1

obf J6Q.

dans la

les inteflins. On peut joi,ldre les ropiqUI!S auil

'Cftr•

v~ftgqJe

du

fi~l,

ce

pendan~

on pe fauroit nier que les

"1ifi1$tl

inrernes dellinés pour les enfans; ces copi.

¡nnel'l

ne foie¡lt etficaces

~flhtr~

ces forces q':Ulimaux; • qtie.s · fonc des épichcmes préparés avec de

l'abfyn~he.

en

~fF~t,

d'une p!lrt

il~

cQrrigent pªr

!eiU'

qua

U

du

fiel

de t>reuf, de l'alocs. de la coloquioce. du fue

ballam1que · la

macrer~

crpe dooc

l~s

ven fe nour-

d~ peri~e

centallrée,

&

de l'fluile de •fleur de fpic;

riffent!

~

de

l'au~re~•en

llimulant

le~

fibrcs des in-

on

~pp(ique

les

~pirhemes

fur la région

épi~~Qrique

fefiirls, i!s

évl!cuen~

guelquefois les

hum~urs

corrom.

~

fur l'ombiliq_ale.

(D.

J.)

.

. .

·

pues en

m~me

cerqs

que .l~

vers ;

íoign~z

a

cela ;qu'

\TERMJLLERJ v, neuc. (

Phuri,.)

c'~(l

li¡>rfquc

ils

r~ahli(fenr

l'énergie de la

bil~,

qui daos les en-

~es

betes noires tuiveRt du bouwir fa) trace des ·mu-

f~ns.

&

<!a os les

au~res '

perfonues d'une confticución

lors potir

d~nichcr

leur: magaOn, on dic -"a\lffi vriller,

tlt,~rnide ~ ~ll!

·pc;HU'

t'Qrt1'P.ªir~,

la' ca

uf~ i~mNi11~~

&

fi

le

l~og!ler

a fa ir Íe5 boures daos

.les

'prés

011

~~s

Vffl ,

·

~

.

fraklíeurs; ·cela

~·appelle

vrrmillrr-., .

. On regarde

cucQr~

comme

de~

vtrmifogtr ·

les

YERMILLON,

(

Chimie.)

malle rouge, pefance,

fp;qflant"!;~ lwifegf~u I~IH' effic~cité

pa11otr

c!rr~ (:OO~

compaéle

~

friable, parfemée de lignes

argeor~es

'ou

llar~~

par une expériencC< ele

R~di.

qui oous

~ppren~

l>rill~fi~O.a.

compofée de foufre

~

de

vif•argent, unís

qu~

les 'iufetles reflent

viv~nt

•.ilpres qu'on les

a,

plan·

enf~ruble .

par

P~rr

de la Chimie,

·

gé~ ~ans

différenres

áq~re$ liqú~urs;

01ais qil'(ls nieu,.

J.;~ verfl!iJ/o~ apr~s

avoir été broyé long-tems lur

.r~~n ·p:r<>mp~~m~n . }l~s....q~;~'il~,

m;gn;enc dins

~·líone.

re. ·P<>tpllyre fe

rédui~

en po1,1dre

tr~s-fine.

&

d'une

.(i)(l

~~o~

p,a,r

cc;rt~>J;~i(t>.t'l

I;)Qpl\et

cont~e

les; vens

d~ ~es

plus belles coule11rs rouges qu'il

y

aic ·au monde'

fubll~nces

puileufes, telles que l'huile

q'olives~~Cttvi-

~ot:fqu'ell

broyanlle

vermillr/tf

on•

y

mlle de l'eau· de

/

..

·

·

:om-