418
TR.E.MBLEM.llNS
ma1s
on me preffe
tanc
de reíl:er ·
que Je ne
[~ai
que répondre. Si je
reíl:e ici ,
f
aur
ú
d'autant plus a
fouffrir , que ce pays eíl: entiere–
ment ravagé
&
détruit :
je
ferai
obligé de me renfermer dans une
cabane ,
&
n'aurai pour toute nour–
riture que des
jgnianzes
&
des pa–
rares, dom
Je
ne pui gourer :
En–
fin pour
tome
boiíf
on
je
n'aurai
que de
la
ponche de
tafia
J
a
quoi
.
'
.
.
.
,
¡e
n a1 1ama1s pu m accoutumer.
J'ai
ecrit pour qu'on envoie
a
ma
place quelque Jenne homme ., plu
en état que moi
de
r 'íifier
a
toute
ces fu.tigues; mais on me regarde–
roit comme un
ingrat
fi
je
les
abandonnois aél:uellement dans
une
circoníbmce
auffi
preffance. Ainfi
quelque peine gue J'aie
a
fouffrir,
·e ne
me veux pas rendre coupa-
Je d'un pareil reproche, J'aime
mieux
reíl:er encore un an ave
eux.
On travaille maintenant , avec
,.
me l'expédit:ion
offible
a