DE LA
f.AMAIQUE.
41~
n1aifons ou
il
ne
fe
trouvoir
per–
fonne,
pour
piller
&
emporrer ce
qui
(e
trouvoit ehez le rs voifins,
quoique
la
rerre rremblac encore
fous eux ,
&r
gu'ils
viffent
une
parrie
de leur
clique
écrafée
au
mil1eu
d'eux pendant le tems de
leur brigandage.
Enfin
ce qu'il
y
reíl-e de femmes d
bauch~es
per–
févérent
avec
la
rneme
opiniarreté
daLs
~ous
leurs
exces.
Je
fuis allé deux fois
:i
rerre,
pour
y
fi
ire les prieres avec ceux
qui éroient bleílcs
&
mourans,
&
pour bapcjfer les
en
fans;
,
yy
í
reconnu
lesmemes déréglemens,
Jes
mémes yvrogneries ,
les
méme
blaíphemes
qu'auparavanr. Je
ne
le
pujs
raire a lcur
co11fufion;
Je ne
puis
non
plus e cufer
les Magi1:.
trats d'avoir permis qu'une pareille
mechancete
foit parvenue .
Ul
teJ
exces. J'ai
fait
entierement
dn
mienx qu'il m'a
été
poilible,
our
m'acquiner d€ rnon devoir tant
que
j'y
ai
refic ;
&
·e remerc1°
S
iv