I
TREMBLEMEN$
Dieu de n'avoir
rien
a me
repro-
her de ce
coté-h'
tant je me fuis
porté
a les
precher ,
a
les
catéchi–
fer
&
a
les e
h
rter : ce
que
vous
pourroienr confi rmer tous
ceux
qui
font venus
ici .
Je
leur expofai
íi
clai rement, dans
le
dernier
fermon
que
j'ai
fait ,
l'Eglife, gnelles fe.
roient
les
fui es
funeíl:es
de leL
r
endurciífer em
&
de leur vie dé–
réalee,
q
l'ils
ont avoué
depuis
ne
e écoit
pl
1t()t
une
prophécie
qn'un fe rm n. J'avoue
qL
e je
m'y
femis
pouffé
par
infpi 1
ation ;
&
que
je
leur
ai
fouvem preche
en
chaire des chofes anfl
~
elles je n'a–
vois
jamais
pena ,
&
que je n'au–
rois pn leur dire
íi
je
n'y
avois
été
in
[piré.
Le jour de ce terrible événe–
ment fm
tres-beau)
&
mcme
trop
beau
pour qu'on
eut
pu
foupc;onner
Je moindre accidenr. Cependant en
tr
·s minutes
environ
fur
les
onze
l1eures
&
demie du mar in,
le
P
ort
Royal,
la plus
belle
v
ille
de
touce