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371
·
ift~rens
paífage
el·
ns ce
p
ys
qui
feroit a parcourir
e
m me a ré–
duire ,
en
y
entrant
par pl
uíieurs
endrnits a
la
fois, d'autanr plus
que les
EJPagno!s
ne pourroient
'oppofi r qu'a un feul paífage.
Les
efcl ves m
Ame
profiteroient fans
dome volontiers de cette occafion ,
&
fe
déclareroient comr'eux
dans.
Ies vues d'obrenir
leur
liberté
Enfin
les
Créo!e
fe
réjouiroienc
d'une
par
il1e féte, aimant mieux.
ivre
en
liberté
fous un
peupl
étranger ,
que d'étre plus
long
rems ºf:primés par leurs propre¡
ompatnores.
Quant
aux
Créoles
ou
Créofios
-
comme les appelle cet Auteur ,
i
ífure que la haine qu'ils porten
~ux
E
fpagnol.s
eíl:
fi
grande , qu'il
n'y
anroít peut - erre rien
~
plu
vamageux pour
ceux
qut vou–
roiem
faire
la
conquere
du
Péro,
Cette haine morrelle vient
pre-
mieremem
dl
panch nt que le
réoles
r
t
ujours
eu a s'int
r-