~7º
DE se
R I P TI
o
N
equ'il
n'y
avoit
alors que
des
gen
groffiers
&
fans
armes
a
réduire
>
au lieu
qu'on auroit aujourd'hui
les
Indicns
&
les
Efpagnols
a com–
battre. Mais
c~tte
raifon
n'eíl: pas
folide : au
contraire .
les
lndiens
éroient parfairement
¿
verfés dans
le
métier de
la
gL
erre
qu'ils
fe
fai–
foient
entr'eux,
&
fs:avoient
fe fer–
vir
fort adroir:ement de leurs ares
de Ieurs fléches , de leurs dards
&
autres armes; de plus ils fourenoienr
leurs bataílles
&
leurs combats en
gens dérerminés, comme on le voit
par
le hiíl:oires
de
ce
tems-la.
Au..
jourd'hui ils
font
fans armes,
op–
primés
&
Bches :
ils
ont peur
d'un
coup de
fu
fil,
&
n'o{enr pas
méme
foutenir
le
regard d'un
E
fpagnol.
11
n'y
a
done rien
a
craindre de
leur coté. 11
n'y
a pas beaucou
a
appréhender.
non
plus
de la
part
de
E
fpagnol.s
,
qui dans tous les.
vafte
Etats de
Guatemala
,
ne
ourroienc pas
lever une armée
ooo hommes) ni
défendre
les