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DE

s e

R 1 P T

I

ó

1.r

,. peLt

d .... cas de cette maladie au

P

érou

,

que fans s'embarraffer de

la

tenir {( crete , les femmes s'en

dema

ndent

mutuellement des nou–

Yelles

da.ns

leurs

viíites

méme les

lus {('

ri

eufes ,

&

fe

panfent

réci–

proquement l

s

unes les amres.

Quoique

les Efpagnolles ne

foient pas renferm

es

au

P

érou

comme elles le font en

EILrope

,

ce n'eíl: guere

leur ufage de forrir

le jour;

mais elles fs:avent s'en dé–

dommager le foir. Elles ont alors

liberté emiere de faire leurs vi{i...

t

s;

&

le

pl

1

fonv ne dans

des

endroits ou l'on

ne

les

foup~onne­

roit pas. Cell s •1ui

paroi!Tent

les

plus pmdes le

jour

,

font les plus

effront

'es

la nuít. Elles ont alors

le

vifage

voile

de

fa~on

a

ne pou–

voir erre reconnues ; ce

qui

les

authoriíe

~

des roles qu'on ne peut

attendr que des hommes en Fran–

ce. Ch z elles, elles fom ordinai–

r mene affifes

les

jambes

e ·oifées

fur un

ejlra o

cou

vert

d'un tapis a

la