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DESCRIPTION-
t
·ds
y
héritent prefque de
la
me.–
me m miere que les enfans
legiti–
mes, lorfque
le
pere les a
recon–
nus;
& l'on
n'y
pas le
meme
mcpris ponr cette {( rte de nai!fan–
ce,
qL1'on
a· en France mi l'on im–
p
lte m:tl a
propos
la
faute fur
rinnoce1
t.
Au reít , ajoute-t-il ,
nous ferions peut-ctre plus
fa
vora–
bles
for et arcic
e ,
fi
chacun
connoiífoit
v~l'itablement
fon pere.
S
ir
gue la ruine de
hommes
de
Lt
p,uc des femmes , foit une
punition de
ledr<>
debauches
ou
de leur injníl:c uforpation fur les
In
ii
ns
il
eíl:
rare de
voir une
famil e profp ' r1...r jufqu'a la troiíié–
me g 'nérarion. Le fils ne m.inqne
guéres de diiliper ce qne fon pere
a eu beaucoup de peine a
ar.uf.fer ,
&
fouvent m
·me
en faifant
bea
i ...
oup d inJuíl:ice d,rns
t>admi–
nifhation
du
gouvernement ; de
for
e
q
i'on voit
fonvem les petics
enfans des plus riches devenir rres–
pauvres. lls
font
eux-mcm
s
íi
forc.