nuPEROY.
101
que l'on
puiíle
con[équemment ha–
biter; mais en
récomp
nfe la terre
efl:
(i
fertile
dans ces endroits
ou
il
n'y
a que tres - peu d'habitans ,
que
ces
vallées fuffifent
pour
leur
fournir
abondamment leur
fubíif.:..
tance.
Les anciens lndiens eroient
fori:
adroits a faire
venir
l'eau des ri–
vieres fur
leurs
habitations: on voic
encore en quelques endroits des
aqueducs
<le
terre
&
Je
pierre
fé–
ehe, fairs
&
difpofés avec beau–
coup d'art le
1011g
des momagnec;,
on ,
aprcs mille détours , ces petit
ruiífeaux vont fe répandre toujour
en ferpéntant : ce
qui
proL1ve
que
ces peuples ,
tont
groiliers
qu'ils
étoient ,
f~avoiem
fort
bien l'arr
d'applanir. On trouve
de
l'berbc en
quelques endroits les moins expo–
fés 21
la chaleur du foleil
fu
r les
montagnes le long de
la
cote ' par–
€equ'elles fupporrent , pour ainfv
di
re,
les
nues en
hyver qui
,es
hu–
meél:ent
aífez pour fournir!e fue n
~-·
~effaire
aux
planees~
E
v