iJuPERótJ.-
IoI
a
ra1chiífem
continuellement
i~:.lÍr,
&
le nuint.
ennent prefqu'au
me
me
dégré de condenfation.
Les
particules folines,
raífembl 'es d
s
vapeurs
qui s'elevem de
la
mer,
&
dom l'air oit
ctre
auffi
chargé
que le peut
ctre
b
fa.unme
de.>
fels qu'elle conticnt , doivent en
core augmenter cene condenfation;
c'eílpourquoi l'air
y
·1
plus d
force
pou
r fu
p
ortcrles nues ,
&
n'e
pas
aífez
ch.mdni
aflez
en
m u....
vement
ponr
agicer
les parricules,
&
confequemment pom
réunir 1
perites
goutc
~s
d'eau au
point
de
les
ren
re d'un volume
p1us
con
fidér~
ble que
celui
de la
colon
ne
d,·
ir
qui
les
fourient. De force
que,
quoique ces
nues
approchcnt
fort
de
la
furfuce
de Ja terre
pendam:
le
rems
g e
le
foleil
les
attire
le
moins , elles
n~
fe convet
ciffent
cependant
jamais
en pluie.
Voib
pourquoi le
rems eíl:
p::efque
tou
jo
irs
couvert a
Lima
,
fans
qu
~e
end.:lllt
il
y
pl
uve
pnu
i .
E
iii