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p
ERO
",
Y )
ntre ces nue
&
les
broui1Iar
.,
u
iqu,il
en
foit,
contin.1e-t-il
~
la
chaleur
peut
auffi attirer la pluie
en
communiquant
anx particules
d'air
un
mo~.i
ement
fpiral
qui
pui[–
fe raífembler pluíieurs perites go:.tt–
tes d,eau en une plus coníidérable.
n concevra ai(ément ce
moH · -
mcnt en le comparant a celui du
courant des riviere .
Or
fi
e eíl: ainfi
cpe
le
foleil
a rirc les
vape~1rs
,
il
ne fam
pas
,,
1
, h
1'
etonner que a terre ce auí ce a -
tire le nues.
Pour mieu.·
tablir
ce-re
attrac–
tion , l'ameur rapporte
t
ne
expé–
rience par laqueHe
i
l
dem
nrre qne
le
fe
i
ne peut fubGíl:er fans un Ii ..
bre ffox
&
reflu~
d'air.
i
ron
met
un
charbon
ardent
dan
une
oou–
teil
le,
&
qu'enfoite
on Ja bouche
exac ement,
il
s'éteint a
1ffi
ot.
Si
l'on
fait
cecee
app!icarion du petic
au grand , on pe
1t
comparer un
co ps
fo
t
échauflé a un charbon,
., concl'lre
que fa
·halenr ne
peu.r
E iv
'\
. ,J.