PAGNOL
'
DA
clans leTernpl du Sol
il,
qu'ils
a
1oroi
~
pou Die
fans po fer au
para.uant
leurs fouliers ,
pour
vn
r--
q
ue de r
rp·ea,
~de
foumifiion.
'D'otl,
il
/enfoiuit
qt~
Garcilalfo cncherzt clu doublefur la entence du luge. A
-
quoy
leCriminelfatisfit tres-rvolont!ers,
p~urce ~u,
ilco–
gneutfort
bitn,
que
cette Condemnation efto1t tres-zufte,
libre do to
ue'I!ajfion.
Cen'eftdonc
pajfans.fujet, que tom ceux du
Pays
pleu-·
rentce
grandE.fomme,
~qu'ils
/afftigentde
tauoir
per–
du.
Miu
fas fubjets l
ndiens entr'autres,
le
regrettent
par---
iculierement'
es
parles
larmes
qu'
ils
<V
erftnt
en abondan–
ce}, tejinoignentrvijiblementaquelpoinct leur
eJl
fanjible
!ti
perte d,ri·,
fi
bon
Seigneitr,
quileur flruoit
en
tout temps
d,appuy,
de Deffenceur,
~
de'Pere: (ar en cjfit,
s'ilad-
.
uenoitaquelques-rvns
de
ceux
quileftruoient dans
[
oz.co,·
de to"
:ber
lVf
alados,
il p enoit le faing de Lesfaire flruir
dans
fa
ZV1
aifan
pro
pre,
comme
s'ils
eujfant
eftefts
Enfans..
C'
eftoit chofi
remarquable
encore,
que
des
tribiJts
ordinai...
res,qui
luy
efioicntdeubs
dans
Les
Proninces,
il
n'en
prenoit
que
la
cinquifine'Partie;
comme
pa
exemple,
des
Droi{fs
qui
lU:J appa
tenoient
pour
chaque
tefle
de
Bejlail
du
Pays,
@f
des
autra
d'enree8 quifl rr.;endoientJla
place
de la
Vil-
le; de quinze e/cm qui
luy
deuoien
treuenir, ii
fl
contentoit
de
trois,
&
air;fidu
plm
au moins. Les
Huaman
pall
pas,
quifant
aquarante
lieue·s
de
c
oz...co,
cfloient
oblige~
a
cha–
que
annee, de
mettre
dans
Jes
Greniers
rvne
grande quanti-
te
dt
bled
du'Pays ,qu'ils
portoient
for
leurs ejfaules;
tel–
lement quepour les
fattlager,
ii
leur dit,
Qi
ils laiffc
ff
en
t
~e ~led
.d
ns vne de
[es
Maifons
des Champs,
qui efloit
ifl.t~
f
~eues
de C
ozco,
@r
far
le
mefme chemin
par
ou il
fa-
-
Iott qu zlspajfajfant,
en
rvenantde leur'-Pays: C
ou~re
qri
il
,