(
DES
V ·E.RRES
CrvlL~-s
r
s'
il
n'etJft
a11"efle
ce ieun-e
Fartieux,
fans
auoir informe
Je
fl$
Complices)
&
fulmine
cotre
eux <Vne rigoureefe
Sentence
de
,
n~ort
,afin de lafaire executer
publiquement~
Ce quin'euft
,
faruy apres tout>
qua
irriter les autres
'
es
a
!es inciter
J
pourfaiurece.qu'ilsauroientcommence;
au lieu quo par
{11,
Douceur
&
le Secret,
oncoupachemin
a
tote les
maux
qut .
ce
Defa~drepouuoitcaefer.
~
.
Cette
A £lion de Garcilajfo donna fin aux approhenjions
iluPeuple
,-es
commencpmentafan
R.epos,
qui
duratout
li..
temps que
ce PrudentlV:liniftre
{utdansfa
Charge.
Tom
le~
Habitans
le reJPeftoient
au!Ji,
comme
cvnHomme
'llonu dil
Ciel;
Ce
qu·ilsfaifoient,
a
rvrll:J dire,·auec beaucoup de
rai.._;
fan, fHJurce queJon zyle eftoitgrand;
fa
Piete connue d'
<V'll:
,
chacun;
fan
affellion
au
bien
du
Public
extraord~nairo
;fan
1t.drejfe
a
expliquer les
Loix,
tres
iudicieufi;
fa
Vigilance~ )
.rrmiderles
Procez,
incroyable;
f5
fa
Douceur
a
fatufoir~
les Parties
ft
merueiOeefe, qu'il /es trtiittoit ordinAirement
en Pere.
~fide
ces Vertu.r que
tay
dittes,
ilfaloit
pa/far
mttintenant
a/'
integrite
de
fa
Vie;
a
fa
Cha
rite
merueiOeufl,
!1
a
la
G
enerofitedefon
Ame;
ton
trouueroit que cene
fi-–
roit iamau
fait.
r
eut-il
quelqu,
rvn qui
luy
de-inandaft
quel–
que chofi_quifut iufte,
qu'
ilne
l'
ob
tint
au!Ji-toft?
y
auoit-il·
quelque Gentilhomme qu'
ii
fleut
eftre
incommode, quint
receut
aftiftance
de
luy,
@f
qu'
iJ
ne
logeafl
dans
fa
.M
aijOn
propre
f
S
ouffroit-il que les
Pauures,
qui
luy
demandoient
lAumofne,
s'
en
retournaffent leJ
mains
rv1tides?
~e
Jes
VefUes,
@f
!es Malheureux,
fujfantftuftrezde l'eJPeranc6
que
leur
bon
droiEl
leur
donnoit?
@f
que ceux qui auoient
·befoin
de
luy'
ne
le
trouuajfent toufiours
fauorable
a
/curs
-
:n~ceJ!ite'!J
Tl
n' en
{aloit
ptU
de'meiOcars
tejinoins
que
les
Ca:
~1'aliers
qu,
il
auoit
ordinairement
"fa
T
11,ble~,
es
en
fa
Ma~