.D
ES
f
SP ..
a
G
0
LS ,
1'
A N
l ES
D
fie'~
a
I
ain4r1n~e)
ces
homme~
flditieztx, qui
piOoient
!es
11111
fans,
maffecro1ent
leurs
lWaijtres des
honnoroient leurs
Fdll
s
e:§.
f
ett
'S
Feit. mes,
cs
mettoicntlefeu par
toute
Ia
Vil–
le.
A
cllufldcquoy
ils
s'en
ttOoient
torn
le-8
iours
au
Gouue1'-
11eM'
,f
ou~
le
p~ier
de ne
Jouffrir
point
pAr
fa
trop
gr4nd
1
Bonte, qu
on
'l.Jtnttuerdeu4ntlu1,
ceux qui par leur bonnt
F
orturze
s'efloientefthappez..
des Guer1"a
Ciutla,
plu..
flofl
defaire
cha/he
exemplairement ces
'B
oute flux, pour
·
tSflruer
!Jt
rviea
leurs
Citoyens,f
honneur
~
leurs
Femme5,
·
la
droifts
du
~oy,
les
biens
du
Public,
@f
le
commun
repo
de
toste
la
ViUe, dont
ii
ttuoit
le
Gouuernement.
J
l les
re–
mercioit de ces
bons
cA
duil
en
terme5
ciuils;
@f
!es
priani
de
nefl
rnettre en
peine
de rien la ajfaz.troitqu' zls q:erroicnt
enpeude temps
le1
ejperances de8
!Vftttins
dijfipfes
f5
tou-
,
·
tes
chofa$
p4ijibles.
En
effec1,
ce
qu'il
leurditarriua bien–
toflapra;
[ar il/it
changer
de refalution auxSoldats !es
plPM
confiderables)
ejpanditles
plus turbrtlens dans !es
P10-–
uince5;
@f
apres
4uoir
tenu
dans
fa
Lit
aifan
quarante
iours
durttnt le
Caualier qui tramoitcette Conjpirat,:on,
f5
l'a–
uoir
traittf
commefan
propre
Fils
,il
ltf:Y
remonflra
combien
pernicicux
eftoit
fl
n Dejfain;
adiouflanta
cette
Reprhnen–
de
de
rtgoureuflsmenajfes,
f.1
d,en
faire iitflice, en
cas
qu,il
ne
voulut/amender.
Cela
fo
it,
il
IU)I
donna
rvn
Cheua!
de
.
·
coux
defin
Efci1rie,
e.1 troil censfoixante
Ducats,poitr
s'
en
'lt/ler
cornme
en
exit
a
Q_uitu' c;ui
eftoita
cinq
cens
lieues
de .
JJ,;
de
qu~
ceCaualierle
r~1 ~rcia
bi
e
~ fa.rt,rvoya
n
t
qu'
au
lieu delefaire mourir com'!1e
t
!
lementott, rvn
ft
b~~
Ho
fl
e
.
luy
donnoit la
tVie
r§
fe tratttotten homme
de
cond..
t1011.
Vn
peu d,pres
le
Prefident,
e5
les .Auditeurs en
eurent
ridui..r
e
toJU d q;n connnii.n accc,
louerent
la grande
Prudence du
G()uNerneur'
a-deJltJurnerle
n1al'
Jeii.rq~1i
pouuoit
arriuet',
,
TTt
&.