,
A.-'
)
}
babiOemens fa,ns
cArmu
,fans force
(5
qui
n'
efloientplm
quelalied:VJ!onde. Garcilajfo neantmoins auoit tant
de
[ourage, qu'auecque
c~
hommes
fi
mtt l equipez:,., ilne de.(–
cfferoi tpas de
co~9ucnr d~
no
uuelle~
'J>roumces,
Mttts
rvoyant depuu
qu
ii
mourott toM
les
~ou1''s ~es ge~s
,
t~nt
[ 11
diens, qu'EJPa
nols;@r
que ceux
qui
reflozent,
n
eflozent
p/111
que des
Spe~res
ejpouuantables
,
~l
fa
refolut de
re:'
brouff
er
chemin, a
la
requefte des
0
fficzers du
Roy :
Mau
comment
pouuoit
ii
ffauoir
qu'
elle
route
ii
deuoit tenir?
[elaltryflmbloit
Ji
difficile
,que
pour
tapprendre,
tous
lu
matins /ors que
r~
gen_s repofaienta terre
~ii
portoit
fa
'Veue
leplUJ
loing qu)ilpouuoit.
Mau
ii
ne
dejcouuroit toufiours
que Montagnes:
Et
alors
efleuant les
yeux
au [iel,
d,
ou
il
ejperoit rvn rveritable
flcours,
il le demandoit au
'Pere
de .
Mi:ftricorde,par
Iefus Chrifl-(on
Fils,noflre R..edcmpteur.•
.A.u!Ji
arriuast'
il
en/in,q efa
priere
ne
fut
pa&
rvaine:Car
au
bruit que/irent
p
lujieurs'P
croquets
,ii
pr
it
~arde
de quel
cofte
ilsprenoientl'Ejfor,
e§
lesfaiuantde l
ail
il
i11geapar
les
apparences
,
quc
la
ou
tis arreflerent leur rvol,
ii
faloit
qu'
il
y
ettt quelquespeuplades,
ou
du moins queiques
terres
ou
l
on
eutjeme
dttM
ahu,
que ces
0
ifia
tx
aymentfort.Sur
le
r_apport
qu'
il enjitajcs
gens,
ifs
marcherent
tom,
ou
pott;•
'lilleux
dire
ii
s
fl
t1"aifn
rent en
ce
'P
arage
,
ou
pour
arriuer
ifs mirent
trente iours entiers
~faire
hui
a
licue
s
,ne
pouuant
allerplu.r rvifle,
tant
pour
leurfoiblejfa,
que
pour
Les obfla–
cles
des
halliers,
des brojfailles
,@f
des branches entrelajff
es
l rvne dans
f'autre,
qilils
ouuroienta
force
de
bras. A
lafin,
ttpres de
ft
rudes tempefies ,ils
arriuerentau
Port,
es
rencon-·,
trere~t~es
gens
du
Pais,
quiiettant d abord la rveue·far
le
C~pttazne_,fore~ittoucbez~e
piti_f de_ rvoir rvn bomme de fa
mine
,ft
bun fazt,
@r
quz paroijfott
de grande
Authorite
1