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1:
I
3!
-L-es premieres · plaintes du Prince
~~~
~ontre
le Maréchal furent ,par rapport
1
14~
a
fa maniere de lui écrire. En Ruffi.e
11
y
a
une formule que les inférieurs font
obligés d 'employer vis-a-vis
~4e
le1:1rs
fupérieurs dans tol:it ce
qui
regarde
le
fervice.
Le
Maréchal dédaignant ·
cet
ufage,
fe_
fervoit
~ans
tout ce qu'il
éc~i-
yoit
C}U
9énéraliffime
du
ftmple
fl:yle
épiítolaire.. D'ailleurs
il
ne .lui faifoit
part d'aucune affaire
de
conféquence;
quoique la Princeífe l'eut exigé; mais
quancl
il
y
avoit .quefque pagatelle
~
comme l'avancement d'un Officier fu.:a ·
balterne ; le Comte de Munich ne
man~
quoit
jamais d'en faire part au Prince.
Le
Copj.ted'Ofierl1).ann ; qui
av9it
tous l
es foirs.des.
~onférences
de
plu~
heurs heures- ave
e
le Prince..,
le
.follici-–
t~it
de
S~
ert
plait_1dre a
_la
Grande-
Du..
cheífe.
L'
ayant fait , l\4oníieur
de
M
u~
nich eut ordr"e de conférer avec
le Gé- _
nétaliffltn~·
fur toÚtes l€s
·aff~ires
,
~
d<J
{e
fervir en
lui
écrivant
du formulaire ·
'
établi.
Ce
rte
fut pas
la
feuie mortificadon
qu'
On
lui
donna:
il
en
re9ut
d~
a
u
tres
peu de
temps
apres ,
qui
furent de plus
To·me.
JI.
H
··