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I R E
s
~-
ral n'ait
été'
renvoyé plufieurs
années
fi7l7.·
avant
fa
difgrace.
De
fon
coté
Mon–
fieur de
Munich
lui a
bien rendu
la
pareille ;
fier comme
il l'
écoit ,
il
p'a
- jamais pu
fuppo.rter
les hauteurs de
cette-
Cour,
&
n'a
négligé
aucune
oc–
caíion de- les
faire
remarquer
a
l'Impé-–
ratrice
&
au
Minifiere
de P
etersbourg.
Je
ero
is que s'il
füt
reíl:é
a
la
tete
des.
affaires, les
deux
Cours
ne
feroient pas.
,, fi
unies qu'
elles
le fopt
préfentementº
Onavoit envoyé
de
V}enne
le
Colo""
n.elBrerenklau
pour
faire
la
campagne
avec
l'Armée Ruffe,
afin
d'obferver
les
opératiQns
&
en
rendre
compre
á
fa.
Cour;
&
clu
coté
de
la Ruffie
le Co.lonel
Darewski
&
pluíieurs
autres
Ofliciers.
avoient
été envoyés
a
l'
Armée
Impé~
tiale
pour faire la
meme
chofe.
Apres,
la prife
d'Otfchakow Moníieur de Bce–
renklau
donna
a
fa
Co.urla
relation
<le
ce
fieg-e ,
o
qentr'
autres réflexions.
fatiriques
il dit
da.nsune lettre
écrite–
au Comte d'Oíl:
ein aNemirow, qu'il
/
•
•
•
I
e
'
•
et01t
vra1 que Jama1s troupes n av01ent:
aftaqué
une
ville
avec
plus de coura""!
.ge ; mais que pour les Généraux
ils.
u'
éJQi~nt
gu~r~ ~a_p~bks,
t_ous
t~nt
qu'ils.