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s

L .~-

_,_-· -

ne

fe

montroient

jamais.

a

vifage

dé-

1737.

couverr. Au bout de ce temps-la,

une

nuit on dérela les chevaux

&

on le

laÚfa

couché dans

fa

voiture : il

y

refta

tranquillement jufqu'au jour , c~oyant

.bien

qu'on lui feroit

pourfuivre

fon

voyage comme

a

l'ordinaire. Le

jour

parut fans qu'il vit

venir

fes conduc–

teurs-; alors

prerant l'oreille

il entend

)>luíieurs perfonnes qui

parlent

courlan..

dois autour de

fa_

voiture ,

il l'

ouvre

&

il

fe

t.rouve

·a

la porte

de

fa

rnai–

fo-n~ Monfteur

de Sacken

fit

fes plain....

tes

au

Duc ,.

qui

ne

manqua pas de'

bien jouer la Comédie, en repréfen–

tant les griefs de ce

Gentilhorn.me

a

la

-Cour de Perersbourg , d'

ou

il eut

p

our

réponfe ,

que

G

l'

ori

pouvoit déíigner

les perfonnes qui avoient

fait

cette ac–

tion, on

_ne manqueroit

pas de

les punir

rigoureufement.

Je

revieps

aux

opérations

militaires.

Les Calmoucks avoient

fait

une nou-–

velle invaGon dans le Couban dont

ils

avoient

dév aíl:é

une

tres -g_rande

partie,.

&

forcé le reíle

a

fe foumettre emié-–

rement

a

la

c!omination

de

Sa

Majeílé

Impériale.

.