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D E

R.

V S

$

1

k.

j1J

Je doute qu'il

y

ait au monde des

E

éW!

troupes qui foutinífent, ou plutot qui

1737_,.

vouluífent fourenir patiemment

d~

pa-

reilles fatigues ;

&

cela me confirme

dans le fentiment ou

j'

ai toujours été ,

que les Ruífes forfqu'ils ont /

de

bons

chefs font capables de tout faire

&

de

tour entreprendre ; mais il _leur

faut

beaucoup d'Officiers étrangers; parce

que les foldats

y

ont plus de confiance

qu'en ceux de leur propre nation.

Apres

avoir

parlé de fuite des

opé

0

ratio

ns

de

la campagne ,

je

ra

pporre–

tai

ici quelques autres faits remarqua–

bles , arrivés pendant le cours de l'an–

née

1737.

Déja

fous

le

regne de Catherine

les

Querques

e

d .

p

b

-

&

d V·

fa1ts remarA

ours

e

eters ourg

e

1enne

quables arri..

avoient conclu

une

étroite

alliance

v és

11

anné~

fr

I

fc

'

l

7

37•,

qm

fut

encore renerree ous le

regne

·

de

l'Impératrice

Anne ; on étoÍt con-

.

/

'

,

venu

par ce

traite ,

qu

en

cas qu une

des Cours

fe

vit obligée de rompre

avec

la Porte, l'autre l'affiíl:eroit de

trente mille hommes ,

&

décl areroit

nieme. la guerre

fi

la fttuation le per...

metto1t.

En

conféquence de ce trait' , l'année

X

ij