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R.

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s

s

i

k~

-

14J

détachemenr

pour

prendre langue. II · ·· ·

ee

fut

aífez

heureux

pou.r

renconrrer

un

17

3

6.

parti enn_~~i ,

.pour

le

défair~

&

a~-

rter un pnfonmer ,

duquel

on

apprít ;

Qu'úne

des

plus

puiífarttes

h?'rdes ,

nommée

la

hotde

de

Jetisko(1li ,

qui

pouvoít

rhettre

jufqu'a

vingt

mitre

che:..

vaux en

campagne , étoit fortie '

des

montagnes

ou

elle

ne

pouvoit

plus füb~

fifl:et;

qu'elle

faifoit

paitre

fes

chevaux

&

fes troupeaux dans

les prairies

en-

dé~a du

fleuve

Couban ,

& qu@ pt>ur

fe

méttre

a

couvert des

irtcurGons

des

Calmoucks

&

des Cofaques ; elle avóit

établi pluíieurs

poíl:es bieri

forrifiés

dans

des défilés qu'il falloit

paífer

pout aller

a

elle.

A cette

nouvelle

Dort-Duc-Ombo

détac~a un gtos

<le

Cofaques ,

fous ·

res

deux

Colonels

J

efremow

&

Krafoat•

fchoka

pout

tecónrtoitre la íituation

de

ces

poíl:es ,

&

il

fL

:Jiv

it ce

détache-

tnertt

avec 1~ reíl:e c:

J.es

troupes.

On

·examina pendant le jout tous les en-

virons des retrancherhens ennemis ,

&

la

nuit étant venue les Co(aques atta-

querent

le

principal

poíl:e

garde

par

mille hommes ,

&

ils le forcerent mal-

gré

une

réfüht.n<i:e

opiniatre. Comme

Q

ij