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x
AVERTJSS4lvfENT,,
poúr bien
[
avoir les faits. A
une
~onnoiífance parfaite de
la
Lan–
gue
&
a
?n~
relation
intime
a.vec les pre1nieres
_perf<?nnes
de
, l'Etat , Moníieur , de Manftein
:ajoutoit
un efprit folide .& pofé;
fort élpigné de ~et
enthouíiafme
ou ,de cette
préveDtion natio–
nale par
laquelle
tant d'Ecrivains–
fe laiífent
f
éduire
[
ans s'en a
p–
percev.oir"
e·,
efr un·
hom1ne
d'un
_fens drQit,.
qui
narre
avec
ingé- ·
nuité les
faits
comme il les a
vus"
S'il eíl: des
gens
qui
ayent
a
fe plaindre
de
lui fur
cette
n1a~ime :
Toutes
yérités
ne /ont
pas bonnes
a
dire
.'
ils doivent fe
rappeller , que
l"
Auteur ,n'a d'a-
~brd écrit que pour
f
~s
amis ,